mardi 28 décembre 2010

@ 5 Unions Supranationales

 

Le monde est déjà partagé en cinq unions supranationales. Suivra-t-il l’état unique mondial ?

L’un des cinq éléments principaux du Nouvel Ordre Mondial est de créer un état unique planétaire, qui projette la réalisation des unions monétaires et économiques régionales, après quoi cela va être étendu au niveau continental puis finalement, ils seront unis dans une seule et unique structure.

Le stade le plus avancé de mise en application de ce plan peut être observé sur le continent européen, où l’Union Européenne (UE) réunit 27 états, dont 16 ont déjà adopté une monnaie unique, l’EURO. On y trouve un Parlement Européen, une Commission Européenne, une Banque Centrale Européenne, une Cour de Justice Européenne, etc. Et dans d’autres régions du monde, on va visiblement dans cette même direction, vers la création d’une union continentale. En regardant les faits dans son ensemble, l’UE apparaît comme une zone d’essai d’un model qui est en cours de réplication dans le monde entier.

Sur le continent Nord-américain, il est prévu de construire jusqu’en 2010 une Union Nord Américaine (North American Union-NAU), qui va avoir une monnaie unique l’AMERO. Le tout a été négocié et décidé sans le consentement des citoyens des États-Unis, du Mexique et du Canada. Aux États-Unis, le Congrès n’a pas été consulté, bien que ce fait contrevienne á la législation américaine.
Sur le continent Sud-américain, il a été constitué par l’intégration de deux unions économiques régionales, Mercosud (Mercosur, Mercado Común del Sur en espagnol et Mercado Comum do Sul pour sa traduction en portugais) et la Communauté Andine (CAN, Comunidad Andina de Naciones), L'Union des Nations sud-américaines (UNASUR, Unión de Naciones Suramericanas). Elle inclue 12 pays. L’intention de créer une Communauté Sud Américaine d’après le modèle de la Communauté Européenne, a été annoncée en décembre 2004, quand elle a été signée Déclaration Cuzco, á l’occasion du troisième sommet sud américain. Le traité de constitution de l’UNASUR a été signé le 23 mai 2008. Il prévoit l’adoption d’une monnaie unique, la création d’une banque centrale (Banque du Sud) et l’installation d’un Parlement Sud Américain dans la capitale de la nouvelle union, Quito en Equateur. Allan Wagner Tizón, ancien secrétaire général de la Communauté Andine, a annoncé que le terme de la finalisation du processus d’intégration est en 2019.

Sur le continent africain a été constitué en juillet 2002, l’Union Africaine (African Union, AU), formée de 53 états. La Commission de l’Union Africaine est constituée d’après le modèle de la Commission Européenne et on trouve le siège à Addis Abeda en Etiopie. Le Parlement Africain (Pan – African Parliament – PAP), construit d’après le modèle du Parlement Européen avec 265 membres et il est situé à Midrand en Afrique du Sud. Et aussi, l’Union Africaine est née conforme au plan de la communauté économique régionale comme par exemple l’Organisation pour l’Unité Africaine (Organization of African Unity- OAU) ou la Communauté Économique Africaine (African Economic Community). Elle a sa propre armée (qui a intervenue pour le maintient de la paix dans  les conflits dans les régions comme le Darfour ou de la Somalie), une banque unique (Banque Africaine pour le développement), une Cour de Justice (Cour Africaine de Justice). L’AU a un plan d’implantation d’une monnaie unique, l’AFRO. Certains pays du Nord de l’Afrique, comme le Maroc, ne font pas partie de l’AU, mais il est prévue qu’ils s’intègrent dans l’Union pour la Méditerranée, qui va être formé de l’UE, les pays de l’Afrique du Nord et du Moyen Orient.

En Asie, les choses sont encore peu avancées, cependant les étapes parcourues jusqu'à maintenant sont les mêmes. En 2002, il a été constitué par l’union de nombreux organismes économiques (ASEAN, SAARC, Gulf Cooperation Council), le Groupe de Dialogue pour la Coopération Asiatique (Asia Cooperation Dialogue-ACD). Dont font partie  30 états et elle est considérée comme le précurseur de l’Union Asiatique. Mais les pays du Moyen Orient, qui font partie de l’Asie, n’ont pas manifesté l’intention d’entrer dans l’ACD, mais ils ont déjà commencé à construire une Union du Golfe, dont il est prévu d’adopter une monnaie unique, après quoi, en 2008, il y a été créée la Banque Centrale du Golfe (Gulf Central Bank).

Que reste-t-il ? L’Australie qui est lui même un pays continent. En juin 2008, Kevin Rudd, le premier ministre d’Australie, a annoncé de poursuivre la création d’une Communauté Asie-Pacifique jusqu’en 2020, d’après le modèle de l’Union Européenne.

En tirant les règles, des 195 “états indépendants” qui existent sur le globe, 125 se trouvent déjà inclus dans l’une des cinq unions continentales. Sur le total la population mondiale (6 760 000 000 de personnes), 5 880 000 000 sont déjà inclus dans une de ces unions. Voici comment des pas cruciaux ont été faits par des malotrus, pour pouvoir constituer plus facilement un état unique planétaire, sous un seul pouvoir (le gouvernement mondial).

Mihai Vasilescu

mercredi 22 décembre 2010

@ Accord secret OTAN & ONU

 

otan onu

Un accord secret de collaboration entre l’OTAN et l’ONU qui viole les conventions de la Charte des Nations Unies

Le 23 septembre 2008, le Secrétaire Général de l’ONU, Ban Ki-Moon et le Secrétaire Général de l’OTAN, Jaap de Hoop Scheffer, ont signé un accord de coopération. La nouvelle a été transmise par le biais de la presse professionnelle.

Le 26 septembre, le journal Financier Times Deutschland a signalé cet événement, sans entrer dans les détails, comme l’ont écrit les journalistes, on a convenu de garder le secret sur ce sujet. Les journalistes indépendants ont eu en possession le contenu de l’accord. Ils ont révélé qu’ils étendent cette coopération durable entre l’OTAN et l’ONU, dans des situations de crise comme l’ont été celles de l’Afghanistan ou du Kosovo. Le texte viole les conventions de la Charte des Nations Unies, qui stipule que l’ONU doit rester une organisation indépendante et ne peut être le camp des alliances militaires.

Le Secrétaire Général de l’ONU et le Secrétaire Général de l’OTAN, ont déclaré dans le texte de l’accord, On se félicite de la décennie de collaboration entre ces deux organismes. L’OTAN est un partisan des efforts des Nations Unies de maintenir la paix et la sécurité internationale. Dans l’esprit du Sommet mondial de 2005, nous souhaitons créer un cadre de consultation et de coopération entre ces deux organismes. Nous réaffirmons l’engagement de maintenir la paix et la sécurité internationale. Jusqu'à maintenant, en partageant nos expériences, nous avons démontré la valeur des coopérations efficientes entre nos organismes. Nous avons agrandie une coopération opérationnelle, comme par exemple le maintien de la paix dans les Balkans (on parle du Kosovo, où la guerre a fait des milliers de victimes, et l’intervention des troupes de l’OTAN a portée irrémédiablement la destruction, note de l’auteur) et en Afghanistan, où les opérations conduites par l’OTAN et autorisées de l’ONU se sont déroulées en parallèle avec les missions de paix de l’ONU. Pour faire face aux menaces et aux provocations, la communauté internationale est appelée à répondre « présent », soulignons l’importance de créer un cadre de consultations, de dialogues et de coopérations, qui incluent un échange de règles et de dialogue continu sur les questions politiques et opérationnelles. Nous sommes conscients que ce cadre doit être flexible et évolutif, nous sommes d’accord pour continuer à étendre la coopération sur quelques questions d’intérêt commun, comme la communication et les échanges d’informations, la protection de la population civile, de l’entraînement, la planification et de l’aide dans des situations d’urgences, la coordinations et le soutien opérationnels ! Notre coopération va continuer à s’agrandir pragmatiquement pour répondre aux provocations mondiales.

L’accord a soulevé de puissantes controverses, même au sein de l’ONU, surtout par le fait qu’il a été achevé en secret, sans avoir été consulté par tous les États membres. Seulement les États-Unis, la France et la Grande Bretagne ont été mis au courant. Le ministre russe des affaires étrangères, Sergueï Lavrov a été indigné et a protesté face à ce mode de procéder, mais il n’a reçu que des réponses évasives.

Le texte représente le couronnement de l’une des plus vieilles décisions pour soutenir la mondialisation, qui a pris forme au sommet de l’ONU en 2005. Parmi ces conclusions, on trouve aussi une extension au niveau mondial des actions militaires de l’ONU, mais au-delà des limites établies par la Charte des Nation Unies. Tout sous la couverture d’assumer les responsabilités de ce projet. Ce concept est vu comme un prétexte pour réaliser des interventions militaires sous le masque de l’humanitaire, par lequel l’Alliance cherche à justifier la politique impérialiste de domination mondiale.

Mihai Vasilescu

@ Asie-Pacifique d’après le modèle de l’Union Européenne

 

Le premier ministre de l’Australie propose la formation d’une communauté Asie-Pacifique d’après le modèle de l’Union Européenne

Au mois de juillet 2008 Kevin Rudd, le premier ministre de l’Australie, a parlé pour la première fois du plan de la création, dans la région Asie-Pacifique, d’une communauté d’après le modèle de l’Union Européenne.

Nos ambitions sont de créer jusqu’en 2020 une communauté Asie-Pacifique, Kevin Ruddune institution selon le modèle de l’Union Européenne, avec un large agenda, qui réunisse les USA, la Chine, l’Inde, l’Indonésie, le Japon et d’autres pays de la région pour nous occuper des problèmes politiques et économiques et de sécurité du futur. C’est le moment de faire les choses, d’avancer dans ce sens.”

Richard Woolcott, l’ex ministre des affaires externes, a été envoyé dans la région pour faire du lobby à ce projet et pour obtenir le soutien des autres États. Initialement, l’idée de Rudd a été reçue avec indifférence par les pays en question, qui n’ont pas compris le sens de la création d’une union de ce genre, alors qu’il existe de nombreuses organisations de coopération dans la zone.

Cependant, avant de partir au sommet d’APEC (Asia Pacific Economic Cooperation), déroulé au mois de novembre 2008 au Pérou, Kevin Rudd a réaffirmé sa décision de faire de son mieux pour la création d’une nouvelle union.

À son tour, Richard Woolcott a déclaré que l’élection de Barak Obama comme président des USA et la crise financière globale donnent un nouveau souffle à cette idée. Pendant que l’élection d’Obama a rétabli la crédibilité des USA, la crise financière a sapé la confiance des États dans les institutions financières existantes. Donc les gens se sont rendus compte que les institutions qui était à la mode d’après la deuxième guerre mondiale ne sont plus adaptées à la situation présente.

George Preda

mercredi 15 décembre 2010

@ Duplicité du président français

 

Le parlementaire européen Bruno Gollnisch démasque la duplicité du président français

Dans le contexte de la crise mondiale, Nicolas Sarkozy, le président de la France, a beaucoup insisté sur l’idée de la solidarité entre les États membres de l’UE et il a proposé la création d’un gouvernement économique mondial pour solutionner cette crise. Cette proposition a provoqué de nombreuses discussions dans le Parlement européen, pour le fait que cela ne fait que de pousser les choses encore plus sur la pente de la domination supranationale. L’une des plus véhéments protestations appartient au politicien et parlementaire européen français Bruno Gollnisch, qui a souligné les contradictions entre les mots et les faits de Nicolas Sarkozy.

Votre activité même, Mr. le président, est une preuve de l’incapacité de l’Union. Le 4 octobre vous avez sollicité une réunion à quatre (et non pas à 27 comme il était normal), le 11 octobre une réunion bilatérale (seulement avec l’Allemagne), le 12 octobre encore une seulement avec le président des USA, pour le convaincre d’organiser ensemble une autre réunion ayant pour but de refonder tout le système mondial. Si on réfléchit bien, vous avez dit que vous n’allez inviter que six sur 27 États de l’UE ensemble avec les USA, Japon, Russie, Inde et Chine. Vous avez fait tous ceux-ci en parlant de la solidarité et de la fraternité entre les pays membres.

Mr. le président, la voie que nous avons à suivre est tout à fait différente ! Elle n’exclut ni les débats pour arriver à un accord entre tous les États européens, ni la coopération industrielle, culturelle ou d’autre type. Mais elle implique une rupture du système mondialiste et de la remise en totale en question des prétendus bienfaits de mélanger personnes, marchandises et capitaux. C’est-à-dire la défense sans équivoque de l’indépendance et de l’identité de chaque nation. Cela ne veut pas dire de s’isoler, mais au contraire, c’est la condition de base pour rendre à nos nations la capacité de communiquer entre elles et d’avoir une telle influence sur le monde où elles vivent.

Mihai Vasilescu

samedi 11 décembre 2010

@ Obama implante le Nouvel Ordre Mondial

 

Henry Kissinger : Barack Obama, le plus approprié pour implanter le Nouvel Ordre Mondial

Dans une interview accordée à CNBC, Henry Kissinger a affirmé que l’élection de Obama en tant que président des États-Unis et les conflits existants, aujourd’hui au niveau international, crée un cadre idéal pour le Nouvel Ordre Mondial.

Henry Kissinger a occupée des positions importantes dans le gouvernement des États-Unis, comme conseiller sur les problèmes de sécurité nationale ou secrétaire d’État de l’administration de Nixon, de Ford et de Reagan. Il a conduit des actions militaires américaines et de la CIA de 1969 à 1977. Il a été impliqué dans la guerre du Viêtnam et dans les bombardements du Cambodge par les américains. Il est membre de la CFR (Council on Foreign Relations), du groupe Bilderberg, de la Commission Trilatérale, des Shriners ou A.A.O.N.M.S (Ancient Arabic Order of the Nobles of the Mystic Shrine, traduisible par Ordre Arabe Ancien des Nobles du Sanctuaire Mystique), francs-maçons et il participe aux rituels sataniques de Bohemian Grove.

Kissinger est célèbre aussi pour cette déclaration suivante : il ne peut y avoir aucune crise la semaine prochaine, mon agenda est déjà plein. C’est peut être pour cela que le président Bush l’a nommé à la commission qui a enquêtée sur les événements du 11 septembre 2001.

Le présentateur de CNBC, Erin Burnett, lui a demandé que les conflits internationaux d’aujourd’hui, vont-ils influencer définitivement la politique étrangère de l’administration d’Obama. Kissinger a répondu : Obama, il ne peut pas dire qu’il a un seul problème le plus important. Mais il pourrait donner un nouvel élan à la politique étrangère américaine, précisément parce qu'il est bien vu au niveau international. Sa tache sera de développer une stratégie américaine mondiale dans cette période dans laquelle un Nouvel Ordre Mondial peut être crée. On parle en fait d’une grande opportunité, pas d’une crise.

Ce Nouvel Ordre Mondial duquel George Bush senior parlait aussi, dans un discours de 1989 devant le congrès : On a commencé un nouveau partenariat entre les nations. Aujourd’hui, nous vivons un moment unique et extraordinaire. Dans ce contexte tumultueux, sera une nouvelle ère dans laquelle les nations du monde, de l'Est et l'Ouest, du Nord et du Sud vont prospérer dans l'harmonie. Il est notre cinquième but, un nouvel ordre.

Étant impliqué dans la plupart des organisations du Nouvel Ordre Mondial, Kissinger est un bon connaisseur sur ce plan et en parle aussi en 2008. Ensuite, il a affirmé dans une interview accordée à Charlie Rose, de la PBS : On a besoin d’un Nouvel Ordre Mondial. Je crois que la fin de cette administration (n.n. Bush), étant agitée, et au commencement de la suivante, nous allons être les témoins de la création d’un Nouvel Ordre, pour que les hommes qui regardent vers les abysses, même ceux du monde islamique, doivent accepter a un moment donné que l’ordre doit changer pour arriver à un nouveau système.

George Preda


vendredi 10 décembre 2010

@ Masquée le gouvernement mondial

 

La gouvernance mondiale, une forme masquée de parler sur le gouvernement mondial

Un article apparu dans le Financial Times montre que le modèle de l’Union Européenne – l’argent, la Cour Suprême et un Parlement Unique – devrait être adopté dans le monde entier, comme solution pour résoudre les problèmes actuelles : la crise économique, le réchauffement climatique et la guerre contre le terrorisme.

Financial Times apprécie que le nouveau président américain Barack Obama serait plus ouvert que les organismes supranationaux de son prédécesseur. La publication apporte comme argument une affirmation faite par Obama dans son livre « Audacity of Hope » (L’audace de l’espoir) : « Lorsque la seule superpuissance au monde est limitée de son pouvoir et d’habilité de bonne voie, en obéissant à certains standards de comportement établi au niveau international, elle transmet un message claire qu’il existe des règles à suivre » écrit-il.

Un récent rapport de Managing Global Insecurity (MGI), une organisation dont fait parti John Podesta, celui qui conduit l’équipe de transition d’Obama, demande la création d’un ensemble de lois internationales pour réglementer le changement climatique, la nomination d’un haut-commissaire de l’ONU pour s’occuper du problème du terrorisme et pour instaurer une armée pour le maintien de la paix de 50 000 soldats, se trouvant sous le contrôle direct de l’ONU.

Le rapport évite d’utiliser le syntagme « le gouvernement mondiale », précisément car on éveillerait trop de suspicions, mais on parlera en échange de « la gouvernance mondiale ». Cette terminologie est en vision avec Jacque Attali, le conseiller du président français, Nicolas Sarkozy, « seulement un euphémisme pour désigner le gouvernement mondial ».

L’article de Financial Times conclu qu’ « un gouvernement mondial ne peut qu’apparaître seulement s’il est créé d’une manière antidémocratique, parce que jusqu'à maintenant la plupart des projets pour créer une institution supranational ont été bloqués par un référendum ». Ce que l’article ne dit pas néanmoins c’est le fait que l’Europe a créé un précédent, en bloquant l’organisation de référendums pour voter la nouvelle constitution de l’Europe, le Traité de Lisbonne.

Mihai Vasilescu

dimanche 28 novembre 2010

@ La Bête : la limousine du président Obama

 

La Bête : un nom épouvantable, mais pas par hasard, pour la limousine du président des États-Unis

Le président des États-Unis se promène dans une limousine surnommée, non pas par hasard, The Beast “La Bête”. La nouvelle voiture a été construite spécialement pour Barack Obama par la société General Motors et a été achevée au mois de janvier 2009. Avec une carrosserie de Cadillac, ce véhicule est considéré comme le plus sûr au monde, offrant un niveau de protection d'un bunker. En plus, il est doté d'un système de communication ultraperformant.

“La première limousine” a attiré l'attention de la presse dés le début du mois de janvier, en commentant in extenso les différentes caractéristiques et les détails du véhicule. Encore très significatif, la presse a passé avec beaucoup de légèreté sur le surnom de ce véhicule Pourquoi juste The Beast, l'équivalence en anglais pour La Bête de l'Apocalypse! La presse a affirmé que le nom est suggéré par sa dimension, son poids et son niveau de protection.
D'autre part, sur le président des États-Unis, Barack Obama, Henry Kissinger (membre du conseille des relations externe, de Bilderberg, du Comité Trilatérale, Shriner, Franc-maçon qui participe aux rituels satanique de Bohemian Grove) a affirmé qu'il est le meilleur pour implanter le Nouvel Ordre Mondiale. Avec la certitude que le nom funeste de La Bête apocalyptique choisi pour la voiture dans laquelle se promène ce personnage Obama n'est pas un hasard !

George Preda