samedi 27 février 2010

@ Sarkozy fait pression concernant Internet

 

Nicolas Sarkozy fait pression pour implanter une loi abusive concernant Internet

hadopi

Le 2 février 2009, le président français, Nicolas Sarkozy, a annoncé qu'il va prendre toutes les mesures afin que, d'ici la fin du mois de mars, la nouvelle loi "la création et Internet" soit adoptée par l'Assemblée Nationale. Cette loi instaure un contrôle strict sur Internet et viole le droit à la vie privée sous le prétexte de lutter contre la piraterie.

Le projet de loi a été présenté le 18 juin 2008 au conseil des ministres, et le 20 octobre 2008, il a été voté par le Sénat, seulement après une première lecture, sans débat et à une unanimité écrasante. Mais il entre en contradiction avec les dispositions de l'amendement 138 par le Paquet des Télécom de L'EU, qui définit le cadre législatif pour les télécommunications et Internet. L'amendement 138 prévoit que "l'on ne peut jamais imposer des restrictions qui violent les droits et les libertés fondamentales des usagers" (la liberté d'expression et d'information), sans une décision judiciaire."

Les pressions de la France, pour faciliter l'implantation de cette loi, les ministres des télécommunications des 27 pays membres de l'UE ont été entendues le 28 novembre 2008 pour demander l'abolissement de l'Amendement 138. Nicolas Sarkozy a demandé ce travail personnellement au président de la Commission Européenne, José Manuel Barroso. Mais il s'agit d'un amendement voté au mois de septembre 2008 au Parlement Européen avec une écrasante majorité (573 votes pour et 74 contre).

Le nouveau projet législatif français a fait naître de fortes discussions tant au niveau de l'Union Européenne, qu'en France. "Cet amendement constitue une garantie que la législation Télécom ne va pas vers un transfert de pouvoir des autorités juridique sur l'autorité administrative. Il est formulé ainsi pour laisser aux états membres une marge pour respecter les lois fondamentales, spécialement en ce qui concerne le droit à la vie privée, le droit de la propriété, le droit au recours et le droit à la liberté d'expression et d'information."

Si cette loi va être approuvée, comme l'a proposé Nicolas Sarkozy, ceux qui ne voudront pas installer dans leur ordinateur les programmes du type spyware (logiciel espion), imposés par HADOPI (Haute Autorité pour la Diffusion des Œuvres et la Protection du droit d'auteur sur l'Internet) vont se réveiller avec leur abonnement suspendu.

La Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés (CNIL) s'est opposée véhément à ce projet de loi. La CNIL a critiqué premièrement la raison d'être de cette loi, c'est-à-dire la protection des industries culturelles et de divertissement : le seul motif invoqué du gouvernement pour justifier l'introduction de cette loi étant la baisse des ventes dans cette industrie. La CNIL attire aussi l'attention que cette loi accorde aux fournisseurs des compétences illégales, qui sont le privilège des autorités judiciaires et viole la Constitution française.

Mihai Vasilescu

lundi 8 février 2010

@ UNADFI, lutte contre la spiritualité française

 

UNADFI, la pointe de la lance en lutte contre la spiritualité française, elle est conduite par une femme franc-maçonne

unadfi UNADFI (Union Nationale des Associations de Défense des Familles et des Individus Victimes de Sectes) est l'une des organisations les plus virulentes de France, qui sous le prétexte de protéger la société des sectes, place dans le même pot avec les sectes dangereuses tous ceux qui adoptent un mode de vie alternatif ou qui s’orientent vers la spiritualité.

Peu savent que le président de l’UNADFI, Catherine Picard est un membre de la Grande Loge Nationale Féminine de France. Sa présence à la tête de l’UNADFI transforme les actions de cette organisation, dans une lutte de la franc-maçonnerie, une secte satanique par définition, contre tous ceux qui s'opposent à eux.

La nomination de Mme Picard à la tête de l’UNADFI a été une première. Cette organisation, qui jusque-là a fait parade du fait qu’elle est apolitique, elle est arrivée ainsi à être dirigée par un ancien député et membre du Conseil National du Parti Socialiste.
Catherine Picard, est connue aussi par le fait d’avoir créé, avec un parlementaire de l’Union de centre droit Nicolas About, une loi contre les sectes. La loi qui porte leur nom (About-Picard) a été adoptée à l'unanimité (à l'exception d’un seul vote), sans aucune modification et très rapidement en Juin 2001. Ce fait est très significatif, le phénomène en cause se produisant la franc-maçonne Catherine Picard seulement lorsque les parlementaires de droite et de gauche, pour la plupart des francs-maçons, approuvent sans protestation ce qui est dicté par la ligne Maçonnique.

La Loi About-Picard endurcit les sanctions, en introduisant la possibilité de dissoudre une organisation classée comme secte, mais ne résout pas du tout le problème des termes vagues et relatifs, sur lequel se base ce protocole. D’ici à fabriquer des dossiers, à détruire une organisation ennuyeuse, il n'y a plus qu'un pas.

En arrivant à la tête de l’UNADFI, la franc-maçonne Catherine Picard n’a pas signifiée seulement le début d'une féroce offensive contre ce qu'elle a appelé « l'infiltration de la société par les sectes ». Cela ouvre le chemin aussi à des abus sans précédent, commis par l’UNADFI, commis au nom de la protection de la société. Cela a conduit à ce que certains analystes comparent l’UNADFI avec l’Inquisition. Thierry Bécourt a publié un livre intitulé « La nouvelle chasse aux sorcières » et dans un document publié par l'Université Morelli de Bruxelles on parle de « la secte ennemie des sectes ». Mais presque personne, et encore moins les médias, ne disent pas que " la secte ennemie des sectes" est en fin de compte la franc-maçonnerie, le grand absent de la liste de l’UNADFI, mais on y trouve en échange de nombreuses organisations qui ne sont pas des sectes.

L’appartenance de la Présidente de l’UNADFI à la franc-maçonnerie explique plusieurs choses, telles que :

  • Malgré de nombreuses plaintes déposées contre l’UNADFI, la justice, dans laquelle beaucoup de maçons sont infiltrés, cache les cas ou nettoie le devant de l’UNADFI,
  • A chaque fois qu’il a été demandé une vérification des affaires liées à l’ UNADFI, les autorités ont reporté, ont tergiversé ou ont tout simplement refusé d'ouvrir une enquête,
  • UNADFI est soutenu par les instances maçonniques comme « l'Institut d'étude et de recherche maçonnique »,
  • La franc-maçonnerie, la plus dangereuse des sectes sataniques, car leurs membres sont infiltrés dans des postes à pouvoir, n'est pas inclue dans la liste de l’UNADFI.

George Preda