dimanche 28 novembre 2010

@ La Bête : la limousine du président Obama

 

La Bête : un nom épouvantable, mais pas par hasard, pour la limousine du président des États-Unis

Le président des États-Unis se promène dans une limousine surnommée, non pas par hasard, The Beast “La Bête”. La nouvelle voiture a été construite spécialement pour Barack Obama par la société General Motors et a été achevée au mois de janvier 2009. Avec une carrosserie de Cadillac, ce véhicule est considéré comme le plus sûr au monde, offrant un niveau de protection d'un bunker. En plus, il est doté d'un système de communication ultraperformant.

“La première limousine” a attiré l'attention de la presse dés le début du mois de janvier, en commentant in extenso les différentes caractéristiques et les détails du véhicule. Encore très significatif, la presse a passé avec beaucoup de légèreté sur le surnom de ce véhicule Pourquoi juste The Beast, l'équivalence en anglais pour La Bête de l'Apocalypse! La presse a affirmé que le nom est suggéré par sa dimension, son poids et son niveau de protection.
D'autre part, sur le président des États-Unis, Barack Obama, Henry Kissinger (membre du conseille des relations externe, de Bilderberg, du Comité Trilatérale, Shriner, Franc-maçon qui participe aux rituels satanique de Bohemian Grove) a affirmé qu'il est le meilleur pour implanter le Nouvel Ordre Mondiale. Avec la certitude que le nom funeste de La Bête apocalyptique choisi pour la voiture dans laquelle se promène ce personnage Obama n'est pas un hasard !

George Preda

samedi 27 novembre 2010

@ Les futurs senseurs biométriques

 

Les futurs senseurs biométriques scannent la voix, les ondes cérébrales et les électrocardiogrammes

BIOMETRIE

L'Union Européenne finance la recherche scientifique pour l'introduction de nouveaux types de senseurs biométrique. Jusqu'à maintenant, on parle d'empreinte digitale, de scannage de la rétine ou même de l'ADN, la prochaine génération de scanners biométriques va reconnaître les êtres humains par la voix, les ondes cérébrales et les électrocardiogrammes. Le projet Humabio (de Human Monitoring and Authentication using Biometric Indicators and Behaviourel Analysis, Le Contrôle et l'Identification des Êtres Humains avec l'aide des Indicateurs Biométrique et d'Analyse Comportementale) est déjà en phase expérimentale.
14 volontaires ont accepté de s'implanter les micro puces RFID pour participer aux tests de la nouvelle méthode d'identification personnelle. Une application déclarée de cette méthode est la vérification de l'accès dans les zones de sécurité maximale, mais ils ont aussi testé d'autres applications de nature plus personnelle, qui nous prouvent que cette technique ne va pas se limiter à assurer la protection dans les zones de sécurité. L'un des systèmes testés, par exemple, l'identification des données biométriques d'un conducteur d'une automobile. L'ordinateur de bord vérifie aussi bien la micro puce du chauffeur que ses empreintes vocales, et aussi ses données spécifiques aux activités cardiaques et cérébrales. La voiture ne va pas démarrer si le chauffeur n'est pas identifié.
Bien que les développeurs du projet affirment que la recherche est orientée sur la méthode d'identification non-invasive, dans la réalité cette technique est la plus intrusive de toutes celles qui ont été développées jusqu'à présent. Entre autres, elle propose implicitement l'implantation d'une micro puce d'identification personnelle avec la technologie RFID, ainsi que le stockage d'un nombre impressionnant d'informations de nature personnelle sur tous les citoyens. Dans le futur, ne nous étonnons pas que les systèmes électroniques nous limiterons l'accès à certains appareils ou véhicules, en motivant que nous ne sommes pas dans un état adéquat…

George Preda

mardi 23 novembre 2010

@ L’expert en RFID, Katherine Albrecht

 

L’expert en RFID, Katherine Albrecht, fait appel au peuple roumain pour rejeter l’implémentation des passeports biométriques

Le 15 mars 2009, le plus connu des experts mondiaux en matière de RFID et de surveillance électronique de la population, Dr. Katherine Albrecht, a transmis par le biais de l’internet un message aux politiciens et au peuple roumain1636093820_163fa350c6. Elle fait un appel pour stopper l’implémentation des passeports biométriques en Roumanie.

Dr. Katherine Albrecht est connue dans le monde entier pour ses conférences et ses ouvrages très bien renseignés concernant les technologies de surveillance, comme le RFID. Elle a achevé avec magna cum laudae l’Université d’Harvard, ayant une spécialisation dans l’administration des affaires et marketing international et a un doctorat en éducation, développement humain et psychologie à la même université.

En 1999, Dr. Katherine Albrecht a fondé l’organisation CASPIAN (Consumers Against Supermarket Privacy Invasion and Numbering – Le Groupe des consommateurs qui sont contre la numérisation et l’invasion de l’intimité par les supermarchés). Elle est auteur de six livres et a publié de nombreux articles dans la prestigieuse revue Scientific American. Son dernier livre, écrit avec Liz McInty, Les puces-espion: Comment les méga-corporations et le gouvernement planifient de surveiller tout votre mouvement à l’aide du RFID (Spychips: How major corporations and government plan to track your every move with RFID) a été un best seller en 2005 et a reçu plusieurs prix.

Voilà ce qu’elle a transmis aux roumains :

Je salue le peuple roumain et ses gouvernants élus. Je vous salue de la part de tous ceux qui aiment la liberté dans le monde entier. Aujourd’hui votre nation se trouve devant une décision de carrefour, quant à une technologie dangereuse, nommée RFID.
Je suis le Docteur Katherine Albrecht et j’ai dédié les dernières six années de ma carrière professionnelle et académique à l’étude et à l’identification des risques que RFID comporte pour l’intimité, les droits civiles et en dernière instance pour l’idée de Liberté même. RFID est une technologie de poursuite, parue pour localiser et trouver les marchandises dans les fabriques et les dépôts. Il n’a existé aucune intention que cette technologie soit appliquée sur les gens, justement à cause du danger qu’elle soit abusivement utilisée. Mais les gouvernants, les commerçants, les criminels et d’autres catégories pourraient l’utiliser pour poursuivre et surveiller les gens.

Ensemble avec une quarantaine des plus importantes organisations mondiales de défense des droits de l’homme et de l’intimité, parmi lesquelles on compte Privacy International, ACLU, EPEC et EFF, j’ai analysé en profondeur la technologie RFID. Notre conclusion unanime a été qu’il n’est pas approprié que cette technologie soit utilisée dans des documents d’identité, des permis de conduire, des passeports ou d’autres documents libérés par les autorités.

Lorsque j’ai écrit « Spychips », j’ai étudié avec Liz McInty, plus de 30.000 documents. Le tableau de ce qui nous attend dans le futur est effrayant. Les officiels gouvernementaux et les commerçants planifient de construire un monde où nous portons des documents avec RFID, qui puissent être lus à travers les porte-monnaie, les sacs à main, les sacs à dos etc. Ils prévoient des appareils pour lire ces signaux, placés dans les portes, sous les planchers, dans les plafonds et dans les parois, pour surveiller en secret tout ce que nous faisons et partout où nous nous déplaçons. IBM a déjà développé un „dispositif personnel de poursuite” (ainsi qu’il a été nommé) et il est en train d’être patenté. Ils planifient l’emplacement de ces dispositifs dans les grands magasins, les stades, les musées, les théâtres, les bibliothèques, et même dans les ascenseurs et les toilettes publiques.

Il est évident que si les choses suivront cette voie, cette technologie de surveillance sera abusivement utilisée par les commerçants, les criminels et bien sûr, par les autorités gouvernementales. Ce dernier aspect est peut-être le plus épouvantable. Vous, les roumains, qui avez lutté avec tant de courage pour votre liberté et qui avez détrôné depuis peu de temps un tyran, vous ne devriez pas permettre l’instauration de la tyrannie par le biais de RFID.

Je fais appel à tous les officiels roumains, aux politiciens élus, de rejeter l’utilisation de la technologie RFID dans les documents d’identité et dans les permis de conduire. Je fais appel au peuple roumain de ne pas soutenir les politiciens qui soutiennent RFID. Je voudrais remercier nos collègues de Roumanie qui ont déposé un grand effort pour faire venir ce sujet dans l’attention de l’opinion publique, et qui ont organisé des meeting de protestation, qui ont contacté les mass média, qui ont rédigé des lettres officielles envers le Président de la Roumanie, envers l’Église Orthodoxe et envers d’autres autorités roumaines.

Vous êtes une partie d’une vague mondiale de la liberté, qui est en croissance continue et qui s’oppose à l’application de la technologie RFID dans le monde entier. La décision que votre Nation prendra aujourd’hui, aura un effet non seulement sur la génération actuelle, mais également sur les générations à suivre. Je considère que vos neveux et vos enfants jugeront cette génération sur la base de ce que vous allez décider à présent. Je vous prie d’agir correctement et de rejeter la technologie RFID.

George Preda

lundi 22 novembre 2010

@ Micro-puces pour combattre le terrorisme

 

Des micro-puces pour les citoyens américains pour combattre le terrorisme, avait établi Bilderberg en 2008

À la rencontre Bilderberg de 2008, le gouvernement de l’ombre a établi un plan d’implantation par des micro-puces des citoyens américains, sous le prétexte de la lutte contre le terrorisme.

Jim Tucker, un des vétérans des recherches sur Bilderberg, se base à des sources qui ont participé à cette rencontre, comme personnel auxiliaire. Tucker souligne qu’il s’agit des micro-puces qui seront implantées sous la peau, et non pas de la technologie RFID déjà contenue dans les étiquettes des vêtements.

Dans la vision de Bilderberg, les micro-puces devraient permettre le contrôle sur la circulation des citoyens. Les hommes pourront circuler libres seulement s’ils vont porter les micro-puces, et les informations transmises par celles-ci stockées dans une base de données montreront s’ils sont « sages » ou pas.

Ce plan inclue aussi une étape de préparation de l’opinion publique à travers les mass média, dans le cadre de laquelle les micro-puces seront présentées comme une utilité, destinée à rendre la vie plus facile.

Mihai Vasilescu

mardi 16 novembre 2010

@ U-city

 

New Songdo City, la première ville dans laquelle tout va être surveillé

Les technologies de surveillances se sont développées à un tel point que l’on parle déjà des villes super technologiques, dans lesquelles le contrôle est total. Elles sont nommées U-city (Ubiquitous City). En Occident, les plus petites mesures pour implanter une technologie New Songdo Cityde surveillance ont fait naître des protestations, une ville intégralement construite de cette manière aurait été totalement rejetée.

Et pourtant, elle est déjà en construction en Corée du Sud. Elle se prénomme New Songdo City, elle est située sur une île artificielle, à une petite distance de Séoul, près des zones industrielles de la Corée du Nord. Elle comprend des zones d’affaires où vont se trouver des sièges sociaux de quelques grandes sociétés, mais aussi des zones résidentielles pour ses employés. « La Corée a attiré une fois de plus l’attention du monde lorsqu’elle a lancé le téléphone portable. Maintenant, nous devons nous préparer pour la prochaine étape : RFID et U-city », a dit M. An, le directeur des Autorités des Zones Libres Incheon, une agence gouvernementale qui coordonne la construction de la ville.

Dans leur publicité et sur le site de cette « la ville du future », les architectes soutiennent que « les hommes qui vont habiter ici vont avoir une qualité de vie sans précédent».

John Kim, le chef du projet de construction de la nouvelle ville et ex designer senior pour Yahoo, a déclaré que « l’infrastructure informationnelle de la ville va être un gigantesque banc d’essai pour les nouvelles technologies informatiques, et la ville en soi, va être un exemple de style de vie numérique », qui est nommé U-life. « U-life va devenir le style de vie de tout le monde », soutient Kim. Elle va commencer avec une smart-card. Une clé unique sous forme d’une carte avec laquelle vous pouvez fermer votre maison, la voiture, le bureau, vous pouvez acheter des tickets pour le métro ou payer la place de parking, vous pouvez aller voir un film ou louer une bicyclette, etc… »

New Songdo va être la première ville équipée intégralement avec le web 3.0, appelé aussi « l’Internet des objets ». Le concept de l’informatique omniprésente (Ubiquitous Computing, d’où le nom de Ubiquitous City – U-city) sur laquelle se base web 3.0, est que tant les gens que les choses autour d'eux aient un correspondant virtuel. Ceci rend possible leur contrôle total.

« Cette technologie est née en grande partie dans un laboratoire aux États-Unis » répond M. Townsend, consultant au cadre d'un projet de transformation de la capitale coréenne dans une U-city. «Mais, en Corée, nous attendons à un moins d’obstacle social et législatif pour son implantation. La culture coréenne ne tient pas beaucoup à l’intimité. »

B. J. Fogg, le directeur du laboratoire technologique au cadre de l’Université de Stanford, voit la construction de cette ville comme étant une étape de pré-test d’une idée dont l’Occident aurait eu de nombreux opposants. « New Songdo City sonne comme un immense test pour voir comment les gens réagissent à ces technologies et la manière de l'utiliser. Il est plutôt une opportunité d’étudier à grande échelle l’utilisation de la technologie RFID, qui en Occident n’a pas sa place. D’après moi, c’est une expérience à grande échelle, est plus facile à réaliser en Corée qu’aux États-Unis ou en Europe. »

George Preda

jeudi 11 novembre 2010

@ Vers une société de surveillance

 

La Grande Bretagne se dirige comme un somnambule vers une société de surveillance

Le commissaire pour l’Information, Richard Thomas, a manifesté encore en 2004 une inquiétude que « la Grande Bretagne se dirige comme un somnambule vers une société de surveillance ».

Cette affirmation vient à la suite de nombreuses propositions gouvernementales, de créer une base de données avec des informations sur la population et le plan de David Blunkett d’implanter les cartes d’identité biométriques. « Je ne crois pas que les gens se rendent compte de ce qui se trouve derrière celles-ci. Ils vont donner au gouvernement la possibilité de construire un tableau complet sur la majorité des activités des citoyens britanniques.edvige Mon devoir est d’assurer que l’information qui est collectée est le strict nécessaire et de ne rien stocker en plus. Sinon, les gens vont arriver à être contrôlés et leur vie va être suivie, et ils ne vont être jamais conscients de cela. »

« Si l’État recueille beaucoup d’informations sur les citoyens, il devient un État policier », a ajouté Thomas. » « Les pays d’Europe de l’Est savent mieux qu’est ce qui se passe lorsque le gouvernement détient beaucoup trop d’informations sur les citoyens, informations stockées dans un dossier ou bien informatisées. »

« Sûrement que n’importe qui souhaite d’assurer aux enfants une plus grande sécurité, mais l’idée de créer une base de données pour les contrôler reste du moins discutable. » Cette affirmation de Thomas vient après qu’il a été proposé de créer une base de données avec toutes les informations, de la naissance jusqu’à l’âge de la majorité, sur tous les enfants de Grande Bretagne. Le Ministère de la Santé a aussi annoncé qu’il va construire une base de données avec des informations médicales et liées à la sécurité sociale.

Thomas a exprimé des critiques à l’adresse du manque de consistance des déclarations gouvernementales, en voyant les raisons pour lesquelles il faudrait implanter les cartes d’identité biométriques : « Mon rôle n’est pas de m’exprimer pour ou contre la carte biométrique. Mais il me semble suspect que les déclarations du gouvernement ont changé tant de fois ces deux ou trois dernières années. Soit il s'agissait de la lutte contre le terrorisme, soit du contrôle des émigrantes, soit de la protection des citoyens et de faciliter l'accès aux services. »

Mark Oaten, le porte-parole des libéraux démocrates a exprimé ses soucis en face de la prolifération sans précédent des bases de données qui violent le droit de la vie privée. « Tant que le gouvernement ne peut justifier partiellement chacune de ces mesures, il existe un danger de dérapage, sans même nous rendre compte, vers une société de type Big Brother. »

Les craintes exprimées par les deux officiels en 2004 sont véridiques. Conforme à une étude récente, la Grande Bretagne est à présent leader mondial de l’utilisation des technologies de surveillance de la population.

George Preda

mercredi 10 novembre 2010

@ Puces intracrâniennes

 

Des micro-puces intracrâniennes pour les soldats américains

brainchipEn 2007, le Département de la Défense des États-Unis a alloué 1,6 millions de dollars pour implanter des micro-puces intracrâniennes aux soldats américains.

Les puces sont fabriquées par C3B, (Centre for Bioelectronics, Biosensors and Biochips ) dans le cadre de l’Université de Clemson et permet de contrôler les paramètres biologiques 24h/24.

Le département de la Défense a justifié leur utilisation pour avoir la possibilité de localiser rapidement les soldats, au cas où ils sont blessés ou s’ils perdraient conscience sur le champ de bataille. De même, les puces vont être utilisées pour les surveiller et les contrôler pendant leurs permissions.

Anthony Giuseppi-Elie, le directeur du Centre C3B a annoncé que son équipe a crée aussi un gel qui imite les tissus humains, pour prévenir le rejet de la micro-puce par notre organisme.

Conforme au site Inteldaily, les soldats des troupes Delta (Delta Force) ont été déjà implantés par la micro-puce intracrânienne. Il vise à étendre le projet à tous les soldats des troupes militaires de l’OTAN.

George Preda