mardi 28 décembre 2010

@ 5 Unions Supranationales

 

Le monde est déjà partagé en cinq unions supranationales. Suivra-t-il l’état unique mondial ?

L’un des cinq éléments principaux du Nouvel Ordre Mondial est de créer un état unique planétaire, qui projette la réalisation des unions monétaires et économiques régionales, après quoi cela va être étendu au niveau continental puis finalement, ils seront unis dans une seule et unique structure.

Le stade le plus avancé de mise en application de ce plan peut être observé sur le continent européen, où l’Union Européenne (UE) réunit 27 états, dont 16 ont déjà adopté une monnaie unique, l’EURO. On y trouve un Parlement Européen, une Commission Européenne, une Banque Centrale Européenne, une Cour de Justice Européenne, etc. Et dans d’autres régions du monde, on va visiblement dans cette même direction, vers la création d’une union continentale. En regardant les faits dans son ensemble, l’UE apparaît comme une zone d’essai d’un model qui est en cours de réplication dans le monde entier.

Sur le continent Nord-américain, il est prévu de construire jusqu’en 2010 une Union Nord Américaine (North American Union-NAU), qui va avoir une monnaie unique l’AMERO. Le tout a été négocié et décidé sans le consentement des citoyens des États-Unis, du Mexique et du Canada. Aux États-Unis, le Congrès n’a pas été consulté, bien que ce fait contrevienne á la législation américaine.
Sur le continent Sud-américain, il a été constitué par l’intégration de deux unions économiques régionales, Mercosud (Mercosur, Mercado Común del Sur en espagnol et Mercado Comum do Sul pour sa traduction en portugais) et la Communauté Andine (CAN, Comunidad Andina de Naciones), L'Union des Nations sud-américaines (UNASUR, Unión de Naciones Suramericanas). Elle inclue 12 pays. L’intention de créer une Communauté Sud Américaine d’après le modèle de la Communauté Européenne, a été annoncée en décembre 2004, quand elle a été signée Déclaration Cuzco, á l’occasion du troisième sommet sud américain. Le traité de constitution de l’UNASUR a été signé le 23 mai 2008. Il prévoit l’adoption d’une monnaie unique, la création d’une banque centrale (Banque du Sud) et l’installation d’un Parlement Sud Américain dans la capitale de la nouvelle union, Quito en Equateur. Allan Wagner Tizón, ancien secrétaire général de la Communauté Andine, a annoncé que le terme de la finalisation du processus d’intégration est en 2019.

Sur le continent africain a été constitué en juillet 2002, l’Union Africaine (African Union, AU), formée de 53 états. La Commission de l’Union Africaine est constituée d’après le modèle de la Commission Européenne et on trouve le siège à Addis Abeda en Etiopie. Le Parlement Africain (Pan – African Parliament – PAP), construit d’après le modèle du Parlement Européen avec 265 membres et il est situé à Midrand en Afrique du Sud. Et aussi, l’Union Africaine est née conforme au plan de la communauté économique régionale comme par exemple l’Organisation pour l’Unité Africaine (Organization of African Unity- OAU) ou la Communauté Économique Africaine (African Economic Community). Elle a sa propre armée (qui a intervenue pour le maintient de la paix dans  les conflits dans les régions comme le Darfour ou de la Somalie), une banque unique (Banque Africaine pour le développement), une Cour de Justice (Cour Africaine de Justice). L’AU a un plan d’implantation d’une monnaie unique, l’AFRO. Certains pays du Nord de l’Afrique, comme le Maroc, ne font pas partie de l’AU, mais il est prévue qu’ils s’intègrent dans l’Union pour la Méditerranée, qui va être formé de l’UE, les pays de l’Afrique du Nord et du Moyen Orient.

En Asie, les choses sont encore peu avancées, cependant les étapes parcourues jusqu'à maintenant sont les mêmes. En 2002, il a été constitué par l’union de nombreux organismes économiques (ASEAN, SAARC, Gulf Cooperation Council), le Groupe de Dialogue pour la Coopération Asiatique (Asia Cooperation Dialogue-ACD). Dont font partie  30 états et elle est considérée comme le précurseur de l’Union Asiatique. Mais les pays du Moyen Orient, qui font partie de l’Asie, n’ont pas manifesté l’intention d’entrer dans l’ACD, mais ils ont déjà commencé à construire une Union du Golfe, dont il est prévu d’adopter une monnaie unique, après quoi, en 2008, il y a été créée la Banque Centrale du Golfe (Gulf Central Bank).

Que reste-t-il ? L’Australie qui est lui même un pays continent. En juin 2008, Kevin Rudd, le premier ministre d’Australie, a annoncé de poursuivre la création d’une Communauté Asie-Pacifique jusqu’en 2020, d’après le modèle de l’Union Européenne.

En tirant les règles, des 195 “états indépendants” qui existent sur le globe, 125 se trouvent déjà inclus dans l’une des cinq unions continentales. Sur le total la population mondiale (6 760 000 000 de personnes), 5 880 000 000 sont déjà inclus dans une de ces unions. Voici comment des pas cruciaux ont été faits par des malotrus, pour pouvoir constituer plus facilement un état unique planétaire, sous un seul pouvoir (le gouvernement mondial).

Mihai Vasilescu

mercredi 22 décembre 2010

@ Accord secret OTAN & ONU

 

otan onu

Un accord secret de collaboration entre l’OTAN et l’ONU qui viole les conventions de la Charte des Nations Unies

Le 23 septembre 2008, le Secrétaire Général de l’ONU, Ban Ki-Moon et le Secrétaire Général de l’OTAN, Jaap de Hoop Scheffer, ont signé un accord de coopération. La nouvelle a été transmise par le biais de la presse professionnelle.

Le 26 septembre, le journal Financier Times Deutschland a signalé cet événement, sans entrer dans les détails, comme l’ont écrit les journalistes, on a convenu de garder le secret sur ce sujet. Les journalistes indépendants ont eu en possession le contenu de l’accord. Ils ont révélé qu’ils étendent cette coopération durable entre l’OTAN et l’ONU, dans des situations de crise comme l’ont été celles de l’Afghanistan ou du Kosovo. Le texte viole les conventions de la Charte des Nations Unies, qui stipule que l’ONU doit rester une organisation indépendante et ne peut être le camp des alliances militaires.

Le Secrétaire Général de l’ONU et le Secrétaire Général de l’OTAN, ont déclaré dans le texte de l’accord, On se félicite de la décennie de collaboration entre ces deux organismes. L’OTAN est un partisan des efforts des Nations Unies de maintenir la paix et la sécurité internationale. Dans l’esprit du Sommet mondial de 2005, nous souhaitons créer un cadre de consultation et de coopération entre ces deux organismes. Nous réaffirmons l’engagement de maintenir la paix et la sécurité internationale. Jusqu'à maintenant, en partageant nos expériences, nous avons démontré la valeur des coopérations efficientes entre nos organismes. Nous avons agrandie une coopération opérationnelle, comme par exemple le maintien de la paix dans les Balkans (on parle du Kosovo, où la guerre a fait des milliers de victimes, et l’intervention des troupes de l’OTAN a portée irrémédiablement la destruction, note de l’auteur) et en Afghanistan, où les opérations conduites par l’OTAN et autorisées de l’ONU se sont déroulées en parallèle avec les missions de paix de l’ONU. Pour faire face aux menaces et aux provocations, la communauté internationale est appelée à répondre « présent », soulignons l’importance de créer un cadre de consultations, de dialogues et de coopérations, qui incluent un échange de règles et de dialogue continu sur les questions politiques et opérationnelles. Nous sommes conscients que ce cadre doit être flexible et évolutif, nous sommes d’accord pour continuer à étendre la coopération sur quelques questions d’intérêt commun, comme la communication et les échanges d’informations, la protection de la population civile, de l’entraînement, la planification et de l’aide dans des situations d’urgences, la coordinations et le soutien opérationnels ! Notre coopération va continuer à s’agrandir pragmatiquement pour répondre aux provocations mondiales.

L’accord a soulevé de puissantes controverses, même au sein de l’ONU, surtout par le fait qu’il a été achevé en secret, sans avoir été consulté par tous les États membres. Seulement les États-Unis, la France et la Grande Bretagne ont été mis au courant. Le ministre russe des affaires étrangères, Sergueï Lavrov a été indigné et a protesté face à ce mode de procéder, mais il n’a reçu que des réponses évasives.

Le texte représente le couronnement de l’une des plus vieilles décisions pour soutenir la mondialisation, qui a pris forme au sommet de l’ONU en 2005. Parmi ces conclusions, on trouve aussi une extension au niveau mondial des actions militaires de l’ONU, mais au-delà des limites établies par la Charte des Nation Unies. Tout sous la couverture d’assumer les responsabilités de ce projet. Ce concept est vu comme un prétexte pour réaliser des interventions militaires sous le masque de l’humanitaire, par lequel l’Alliance cherche à justifier la politique impérialiste de domination mondiale.

Mihai Vasilescu

@ Asie-Pacifique d’après le modèle de l’Union Européenne

 

Le premier ministre de l’Australie propose la formation d’une communauté Asie-Pacifique d’après le modèle de l’Union Européenne

Au mois de juillet 2008 Kevin Rudd, le premier ministre de l’Australie, a parlé pour la première fois du plan de la création, dans la région Asie-Pacifique, d’une communauté d’après le modèle de l’Union Européenne.

Nos ambitions sont de créer jusqu’en 2020 une communauté Asie-Pacifique, Kevin Ruddune institution selon le modèle de l’Union Européenne, avec un large agenda, qui réunisse les USA, la Chine, l’Inde, l’Indonésie, le Japon et d’autres pays de la région pour nous occuper des problèmes politiques et économiques et de sécurité du futur. C’est le moment de faire les choses, d’avancer dans ce sens.”

Richard Woolcott, l’ex ministre des affaires externes, a été envoyé dans la région pour faire du lobby à ce projet et pour obtenir le soutien des autres États. Initialement, l’idée de Rudd a été reçue avec indifférence par les pays en question, qui n’ont pas compris le sens de la création d’une union de ce genre, alors qu’il existe de nombreuses organisations de coopération dans la zone.

Cependant, avant de partir au sommet d’APEC (Asia Pacific Economic Cooperation), déroulé au mois de novembre 2008 au Pérou, Kevin Rudd a réaffirmé sa décision de faire de son mieux pour la création d’une nouvelle union.

À son tour, Richard Woolcott a déclaré que l’élection de Barak Obama comme président des USA et la crise financière globale donnent un nouveau souffle à cette idée. Pendant que l’élection d’Obama a rétabli la crédibilité des USA, la crise financière a sapé la confiance des États dans les institutions financières existantes. Donc les gens se sont rendus compte que les institutions qui était à la mode d’après la deuxième guerre mondiale ne sont plus adaptées à la situation présente.

George Preda

mercredi 15 décembre 2010

@ Duplicité du président français

 

Le parlementaire européen Bruno Gollnisch démasque la duplicité du président français

Dans le contexte de la crise mondiale, Nicolas Sarkozy, le président de la France, a beaucoup insisté sur l’idée de la solidarité entre les États membres de l’UE et il a proposé la création d’un gouvernement économique mondial pour solutionner cette crise. Cette proposition a provoqué de nombreuses discussions dans le Parlement européen, pour le fait que cela ne fait que de pousser les choses encore plus sur la pente de la domination supranationale. L’une des plus véhéments protestations appartient au politicien et parlementaire européen français Bruno Gollnisch, qui a souligné les contradictions entre les mots et les faits de Nicolas Sarkozy.

Votre activité même, Mr. le président, est une preuve de l’incapacité de l’Union. Le 4 octobre vous avez sollicité une réunion à quatre (et non pas à 27 comme il était normal), le 11 octobre une réunion bilatérale (seulement avec l’Allemagne), le 12 octobre encore une seulement avec le président des USA, pour le convaincre d’organiser ensemble une autre réunion ayant pour but de refonder tout le système mondial. Si on réfléchit bien, vous avez dit que vous n’allez inviter que six sur 27 États de l’UE ensemble avec les USA, Japon, Russie, Inde et Chine. Vous avez fait tous ceux-ci en parlant de la solidarité et de la fraternité entre les pays membres.

Mr. le président, la voie que nous avons à suivre est tout à fait différente ! Elle n’exclut ni les débats pour arriver à un accord entre tous les États européens, ni la coopération industrielle, culturelle ou d’autre type. Mais elle implique une rupture du système mondialiste et de la remise en totale en question des prétendus bienfaits de mélanger personnes, marchandises et capitaux. C’est-à-dire la défense sans équivoque de l’indépendance et de l’identité de chaque nation. Cela ne veut pas dire de s’isoler, mais au contraire, c’est la condition de base pour rendre à nos nations la capacité de communiquer entre elles et d’avoir une telle influence sur le monde où elles vivent.

Mihai Vasilescu

samedi 11 décembre 2010

@ Obama implante le Nouvel Ordre Mondial

 

Henry Kissinger : Barack Obama, le plus approprié pour implanter le Nouvel Ordre Mondial

Dans une interview accordée à CNBC, Henry Kissinger a affirmé que l’élection de Obama en tant que président des États-Unis et les conflits existants, aujourd’hui au niveau international, crée un cadre idéal pour le Nouvel Ordre Mondial.

Henry Kissinger a occupée des positions importantes dans le gouvernement des États-Unis, comme conseiller sur les problèmes de sécurité nationale ou secrétaire d’État de l’administration de Nixon, de Ford et de Reagan. Il a conduit des actions militaires américaines et de la CIA de 1969 à 1977. Il a été impliqué dans la guerre du Viêtnam et dans les bombardements du Cambodge par les américains. Il est membre de la CFR (Council on Foreign Relations), du groupe Bilderberg, de la Commission Trilatérale, des Shriners ou A.A.O.N.M.S (Ancient Arabic Order of the Nobles of the Mystic Shrine, traduisible par Ordre Arabe Ancien des Nobles du Sanctuaire Mystique), francs-maçons et il participe aux rituels sataniques de Bohemian Grove.

Kissinger est célèbre aussi pour cette déclaration suivante : il ne peut y avoir aucune crise la semaine prochaine, mon agenda est déjà plein. C’est peut être pour cela que le président Bush l’a nommé à la commission qui a enquêtée sur les événements du 11 septembre 2001.

Le présentateur de CNBC, Erin Burnett, lui a demandé que les conflits internationaux d’aujourd’hui, vont-ils influencer définitivement la politique étrangère de l’administration d’Obama. Kissinger a répondu : Obama, il ne peut pas dire qu’il a un seul problème le plus important. Mais il pourrait donner un nouvel élan à la politique étrangère américaine, précisément parce qu'il est bien vu au niveau international. Sa tache sera de développer une stratégie américaine mondiale dans cette période dans laquelle un Nouvel Ordre Mondial peut être crée. On parle en fait d’une grande opportunité, pas d’une crise.

Ce Nouvel Ordre Mondial duquel George Bush senior parlait aussi, dans un discours de 1989 devant le congrès : On a commencé un nouveau partenariat entre les nations. Aujourd’hui, nous vivons un moment unique et extraordinaire. Dans ce contexte tumultueux, sera une nouvelle ère dans laquelle les nations du monde, de l'Est et l'Ouest, du Nord et du Sud vont prospérer dans l'harmonie. Il est notre cinquième but, un nouvel ordre.

Étant impliqué dans la plupart des organisations du Nouvel Ordre Mondial, Kissinger est un bon connaisseur sur ce plan et en parle aussi en 2008. Ensuite, il a affirmé dans une interview accordée à Charlie Rose, de la PBS : On a besoin d’un Nouvel Ordre Mondial. Je crois que la fin de cette administration (n.n. Bush), étant agitée, et au commencement de la suivante, nous allons être les témoins de la création d’un Nouvel Ordre, pour que les hommes qui regardent vers les abysses, même ceux du monde islamique, doivent accepter a un moment donné que l’ordre doit changer pour arriver à un nouveau système.

George Preda


vendredi 10 décembre 2010

@ Masquée le gouvernement mondial

 

La gouvernance mondiale, une forme masquée de parler sur le gouvernement mondial

Un article apparu dans le Financial Times montre que le modèle de l’Union Européenne – l’argent, la Cour Suprême et un Parlement Unique – devrait être adopté dans le monde entier, comme solution pour résoudre les problèmes actuelles : la crise économique, le réchauffement climatique et la guerre contre le terrorisme.

Financial Times apprécie que le nouveau président américain Barack Obama serait plus ouvert que les organismes supranationaux de son prédécesseur. La publication apporte comme argument une affirmation faite par Obama dans son livre « Audacity of Hope » (L’audace de l’espoir) : « Lorsque la seule superpuissance au monde est limitée de son pouvoir et d’habilité de bonne voie, en obéissant à certains standards de comportement établi au niveau international, elle transmet un message claire qu’il existe des règles à suivre » écrit-il.

Un récent rapport de Managing Global Insecurity (MGI), une organisation dont fait parti John Podesta, celui qui conduit l’équipe de transition d’Obama, demande la création d’un ensemble de lois internationales pour réglementer le changement climatique, la nomination d’un haut-commissaire de l’ONU pour s’occuper du problème du terrorisme et pour instaurer une armée pour le maintien de la paix de 50 000 soldats, se trouvant sous le contrôle direct de l’ONU.

Le rapport évite d’utiliser le syntagme « le gouvernement mondiale », précisément car on éveillerait trop de suspicions, mais on parlera en échange de « la gouvernance mondiale ». Cette terminologie est en vision avec Jacque Attali, le conseiller du président français, Nicolas Sarkozy, « seulement un euphémisme pour désigner le gouvernement mondial ».

L’article de Financial Times conclu qu’ « un gouvernement mondial ne peut qu’apparaître seulement s’il est créé d’une manière antidémocratique, parce que jusqu'à maintenant la plupart des projets pour créer une institution supranational ont été bloqués par un référendum ». Ce que l’article ne dit pas néanmoins c’est le fait que l’Europe a créé un précédent, en bloquant l’organisation de référendums pour voter la nouvelle constitution de l’Europe, le Traité de Lisbonne.

Mihai Vasilescu

dimanche 28 novembre 2010

@ La Bête : la limousine du président Obama

 

La Bête : un nom épouvantable, mais pas par hasard, pour la limousine du président des États-Unis

Le président des États-Unis se promène dans une limousine surnommée, non pas par hasard, The Beast “La Bête”. La nouvelle voiture a été construite spécialement pour Barack Obama par la société General Motors et a été achevée au mois de janvier 2009. Avec une carrosserie de Cadillac, ce véhicule est considéré comme le plus sûr au monde, offrant un niveau de protection d'un bunker. En plus, il est doté d'un système de communication ultraperformant.

“La première limousine” a attiré l'attention de la presse dés le début du mois de janvier, en commentant in extenso les différentes caractéristiques et les détails du véhicule. Encore très significatif, la presse a passé avec beaucoup de légèreté sur le surnom de ce véhicule Pourquoi juste The Beast, l'équivalence en anglais pour La Bête de l'Apocalypse! La presse a affirmé que le nom est suggéré par sa dimension, son poids et son niveau de protection.
D'autre part, sur le président des États-Unis, Barack Obama, Henry Kissinger (membre du conseille des relations externe, de Bilderberg, du Comité Trilatérale, Shriner, Franc-maçon qui participe aux rituels satanique de Bohemian Grove) a affirmé qu'il est le meilleur pour implanter le Nouvel Ordre Mondiale. Avec la certitude que le nom funeste de La Bête apocalyptique choisi pour la voiture dans laquelle se promène ce personnage Obama n'est pas un hasard !

George Preda

samedi 27 novembre 2010

@ Les futurs senseurs biométriques

 

Les futurs senseurs biométriques scannent la voix, les ondes cérébrales et les électrocardiogrammes

BIOMETRIE

L'Union Européenne finance la recherche scientifique pour l'introduction de nouveaux types de senseurs biométrique. Jusqu'à maintenant, on parle d'empreinte digitale, de scannage de la rétine ou même de l'ADN, la prochaine génération de scanners biométriques va reconnaître les êtres humains par la voix, les ondes cérébrales et les électrocardiogrammes. Le projet Humabio (de Human Monitoring and Authentication using Biometric Indicators and Behaviourel Analysis, Le Contrôle et l'Identification des Êtres Humains avec l'aide des Indicateurs Biométrique et d'Analyse Comportementale) est déjà en phase expérimentale.
14 volontaires ont accepté de s'implanter les micro puces RFID pour participer aux tests de la nouvelle méthode d'identification personnelle. Une application déclarée de cette méthode est la vérification de l'accès dans les zones de sécurité maximale, mais ils ont aussi testé d'autres applications de nature plus personnelle, qui nous prouvent que cette technique ne va pas se limiter à assurer la protection dans les zones de sécurité. L'un des systèmes testés, par exemple, l'identification des données biométriques d'un conducteur d'une automobile. L'ordinateur de bord vérifie aussi bien la micro puce du chauffeur que ses empreintes vocales, et aussi ses données spécifiques aux activités cardiaques et cérébrales. La voiture ne va pas démarrer si le chauffeur n'est pas identifié.
Bien que les développeurs du projet affirment que la recherche est orientée sur la méthode d'identification non-invasive, dans la réalité cette technique est la plus intrusive de toutes celles qui ont été développées jusqu'à présent. Entre autres, elle propose implicitement l'implantation d'une micro puce d'identification personnelle avec la technologie RFID, ainsi que le stockage d'un nombre impressionnant d'informations de nature personnelle sur tous les citoyens. Dans le futur, ne nous étonnons pas que les systèmes électroniques nous limiterons l'accès à certains appareils ou véhicules, en motivant que nous ne sommes pas dans un état adéquat…

George Preda

mardi 23 novembre 2010

@ L’expert en RFID, Katherine Albrecht

 

L’expert en RFID, Katherine Albrecht, fait appel au peuple roumain pour rejeter l’implémentation des passeports biométriques

Le 15 mars 2009, le plus connu des experts mondiaux en matière de RFID et de surveillance électronique de la population, Dr. Katherine Albrecht, a transmis par le biais de l’internet un message aux politiciens et au peuple roumain1636093820_163fa350c6. Elle fait un appel pour stopper l’implémentation des passeports biométriques en Roumanie.

Dr. Katherine Albrecht est connue dans le monde entier pour ses conférences et ses ouvrages très bien renseignés concernant les technologies de surveillance, comme le RFID. Elle a achevé avec magna cum laudae l’Université d’Harvard, ayant une spécialisation dans l’administration des affaires et marketing international et a un doctorat en éducation, développement humain et psychologie à la même université.

En 1999, Dr. Katherine Albrecht a fondé l’organisation CASPIAN (Consumers Against Supermarket Privacy Invasion and Numbering – Le Groupe des consommateurs qui sont contre la numérisation et l’invasion de l’intimité par les supermarchés). Elle est auteur de six livres et a publié de nombreux articles dans la prestigieuse revue Scientific American. Son dernier livre, écrit avec Liz McInty, Les puces-espion: Comment les méga-corporations et le gouvernement planifient de surveiller tout votre mouvement à l’aide du RFID (Spychips: How major corporations and government plan to track your every move with RFID) a été un best seller en 2005 et a reçu plusieurs prix.

Voilà ce qu’elle a transmis aux roumains :

Je salue le peuple roumain et ses gouvernants élus. Je vous salue de la part de tous ceux qui aiment la liberté dans le monde entier. Aujourd’hui votre nation se trouve devant une décision de carrefour, quant à une technologie dangereuse, nommée RFID.
Je suis le Docteur Katherine Albrecht et j’ai dédié les dernières six années de ma carrière professionnelle et académique à l’étude et à l’identification des risques que RFID comporte pour l’intimité, les droits civiles et en dernière instance pour l’idée de Liberté même. RFID est une technologie de poursuite, parue pour localiser et trouver les marchandises dans les fabriques et les dépôts. Il n’a existé aucune intention que cette technologie soit appliquée sur les gens, justement à cause du danger qu’elle soit abusivement utilisée. Mais les gouvernants, les commerçants, les criminels et d’autres catégories pourraient l’utiliser pour poursuivre et surveiller les gens.

Ensemble avec une quarantaine des plus importantes organisations mondiales de défense des droits de l’homme et de l’intimité, parmi lesquelles on compte Privacy International, ACLU, EPEC et EFF, j’ai analysé en profondeur la technologie RFID. Notre conclusion unanime a été qu’il n’est pas approprié que cette technologie soit utilisée dans des documents d’identité, des permis de conduire, des passeports ou d’autres documents libérés par les autorités.

Lorsque j’ai écrit « Spychips », j’ai étudié avec Liz McInty, plus de 30.000 documents. Le tableau de ce qui nous attend dans le futur est effrayant. Les officiels gouvernementaux et les commerçants planifient de construire un monde où nous portons des documents avec RFID, qui puissent être lus à travers les porte-monnaie, les sacs à main, les sacs à dos etc. Ils prévoient des appareils pour lire ces signaux, placés dans les portes, sous les planchers, dans les plafonds et dans les parois, pour surveiller en secret tout ce que nous faisons et partout où nous nous déplaçons. IBM a déjà développé un „dispositif personnel de poursuite” (ainsi qu’il a été nommé) et il est en train d’être patenté. Ils planifient l’emplacement de ces dispositifs dans les grands magasins, les stades, les musées, les théâtres, les bibliothèques, et même dans les ascenseurs et les toilettes publiques.

Il est évident que si les choses suivront cette voie, cette technologie de surveillance sera abusivement utilisée par les commerçants, les criminels et bien sûr, par les autorités gouvernementales. Ce dernier aspect est peut-être le plus épouvantable. Vous, les roumains, qui avez lutté avec tant de courage pour votre liberté et qui avez détrôné depuis peu de temps un tyran, vous ne devriez pas permettre l’instauration de la tyrannie par le biais de RFID.

Je fais appel à tous les officiels roumains, aux politiciens élus, de rejeter l’utilisation de la technologie RFID dans les documents d’identité et dans les permis de conduire. Je fais appel au peuple roumain de ne pas soutenir les politiciens qui soutiennent RFID. Je voudrais remercier nos collègues de Roumanie qui ont déposé un grand effort pour faire venir ce sujet dans l’attention de l’opinion publique, et qui ont organisé des meeting de protestation, qui ont contacté les mass média, qui ont rédigé des lettres officielles envers le Président de la Roumanie, envers l’Église Orthodoxe et envers d’autres autorités roumaines.

Vous êtes une partie d’une vague mondiale de la liberté, qui est en croissance continue et qui s’oppose à l’application de la technologie RFID dans le monde entier. La décision que votre Nation prendra aujourd’hui, aura un effet non seulement sur la génération actuelle, mais également sur les générations à suivre. Je considère que vos neveux et vos enfants jugeront cette génération sur la base de ce que vous allez décider à présent. Je vous prie d’agir correctement et de rejeter la technologie RFID.

George Preda

lundi 22 novembre 2010

@ Micro-puces pour combattre le terrorisme

 

Des micro-puces pour les citoyens américains pour combattre le terrorisme, avait établi Bilderberg en 2008

À la rencontre Bilderberg de 2008, le gouvernement de l’ombre a établi un plan d’implantation par des micro-puces des citoyens américains, sous le prétexte de la lutte contre le terrorisme.

Jim Tucker, un des vétérans des recherches sur Bilderberg, se base à des sources qui ont participé à cette rencontre, comme personnel auxiliaire. Tucker souligne qu’il s’agit des micro-puces qui seront implantées sous la peau, et non pas de la technologie RFID déjà contenue dans les étiquettes des vêtements.

Dans la vision de Bilderberg, les micro-puces devraient permettre le contrôle sur la circulation des citoyens. Les hommes pourront circuler libres seulement s’ils vont porter les micro-puces, et les informations transmises par celles-ci stockées dans une base de données montreront s’ils sont « sages » ou pas.

Ce plan inclue aussi une étape de préparation de l’opinion publique à travers les mass média, dans le cadre de laquelle les micro-puces seront présentées comme une utilité, destinée à rendre la vie plus facile.

Mihai Vasilescu

mardi 16 novembre 2010

@ U-city

 

New Songdo City, la première ville dans laquelle tout va être surveillé

Les technologies de surveillances se sont développées à un tel point que l’on parle déjà des villes super technologiques, dans lesquelles le contrôle est total. Elles sont nommées U-city (Ubiquitous City). En Occident, les plus petites mesures pour implanter une technologie New Songdo Cityde surveillance ont fait naître des protestations, une ville intégralement construite de cette manière aurait été totalement rejetée.

Et pourtant, elle est déjà en construction en Corée du Sud. Elle se prénomme New Songdo City, elle est située sur une île artificielle, à une petite distance de Séoul, près des zones industrielles de la Corée du Nord. Elle comprend des zones d’affaires où vont se trouver des sièges sociaux de quelques grandes sociétés, mais aussi des zones résidentielles pour ses employés. « La Corée a attiré une fois de plus l’attention du monde lorsqu’elle a lancé le téléphone portable. Maintenant, nous devons nous préparer pour la prochaine étape : RFID et U-city », a dit M. An, le directeur des Autorités des Zones Libres Incheon, une agence gouvernementale qui coordonne la construction de la ville.

Dans leur publicité et sur le site de cette « la ville du future », les architectes soutiennent que « les hommes qui vont habiter ici vont avoir une qualité de vie sans précédent».

John Kim, le chef du projet de construction de la nouvelle ville et ex designer senior pour Yahoo, a déclaré que « l’infrastructure informationnelle de la ville va être un gigantesque banc d’essai pour les nouvelles technologies informatiques, et la ville en soi, va être un exemple de style de vie numérique », qui est nommé U-life. « U-life va devenir le style de vie de tout le monde », soutient Kim. Elle va commencer avec une smart-card. Une clé unique sous forme d’une carte avec laquelle vous pouvez fermer votre maison, la voiture, le bureau, vous pouvez acheter des tickets pour le métro ou payer la place de parking, vous pouvez aller voir un film ou louer une bicyclette, etc… »

New Songdo va être la première ville équipée intégralement avec le web 3.0, appelé aussi « l’Internet des objets ». Le concept de l’informatique omniprésente (Ubiquitous Computing, d’où le nom de Ubiquitous City – U-city) sur laquelle se base web 3.0, est que tant les gens que les choses autour d'eux aient un correspondant virtuel. Ceci rend possible leur contrôle total.

« Cette technologie est née en grande partie dans un laboratoire aux États-Unis » répond M. Townsend, consultant au cadre d'un projet de transformation de la capitale coréenne dans une U-city. «Mais, en Corée, nous attendons à un moins d’obstacle social et législatif pour son implantation. La culture coréenne ne tient pas beaucoup à l’intimité. »

B. J. Fogg, le directeur du laboratoire technologique au cadre de l’Université de Stanford, voit la construction de cette ville comme étant une étape de pré-test d’une idée dont l’Occident aurait eu de nombreux opposants. « New Songdo City sonne comme un immense test pour voir comment les gens réagissent à ces technologies et la manière de l'utiliser. Il est plutôt une opportunité d’étudier à grande échelle l’utilisation de la technologie RFID, qui en Occident n’a pas sa place. D’après moi, c’est une expérience à grande échelle, est plus facile à réaliser en Corée qu’aux États-Unis ou en Europe. »

George Preda

jeudi 11 novembre 2010

@ Vers une société de surveillance

 

La Grande Bretagne se dirige comme un somnambule vers une société de surveillance

Le commissaire pour l’Information, Richard Thomas, a manifesté encore en 2004 une inquiétude que « la Grande Bretagne se dirige comme un somnambule vers une société de surveillance ».

Cette affirmation vient à la suite de nombreuses propositions gouvernementales, de créer une base de données avec des informations sur la population et le plan de David Blunkett d’implanter les cartes d’identité biométriques. « Je ne crois pas que les gens se rendent compte de ce qui se trouve derrière celles-ci. Ils vont donner au gouvernement la possibilité de construire un tableau complet sur la majorité des activités des citoyens britanniques.edvige Mon devoir est d’assurer que l’information qui est collectée est le strict nécessaire et de ne rien stocker en plus. Sinon, les gens vont arriver à être contrôlés et leur vie va être suivie, et ils ne vont être jamais conscients de cela. »

« Si l’État recueille beaucoup d’informations sur les citoyens, il devient un État policier », a ajouté Thomas. » « Les pays d’Europe de l’Est savent mieux qu’est ce qui se passe lorsque le gouvernement détient beaucoup trop d’informations sur les citoyens, informations stockées dans un dossier ou bien informatisées. »

« Sûrement que n’importe qui souhaite d’assurer aux enfants une plus grande sécurité, mais l’idée de créer une base de données pour les contrôler reste du moins discutable. » Cette affirmation de Thomas vient après qu’il a été proposé de créer une base de données avec toutes les informations, de la naissance jusqu’à l’âge de la majorité, sur tous les enfants de Grande Bretagne. Le Ministère de la Santé a aussi annoncé qu’il va construire une base de données avec des informations médicales et liées à la sécurité sociale.

Thomas a exprimé des critiques à l’adresse du manque de consistance des déclarations gouvernementales, en voyant les raisons pour lesquelles il faudrait implanter les cartes d’identité biométriques : « Mon rôle n’est pas de m’exprimer pour ou contre la carte biométrique. Mais il me semble suspect que les déclarations du gouvernement ont changé tant de fois ces deux ou trois dernières années. Soit il s'agissait de la lutte contre le terrorisme, soit du contrôle des émigrantes, soit de la protection des citoyens et de faciliter l'accès aux services. »

Mark Oaten, le porte-parole des libéraux démocrates a exprimé ses soucis en face de la prolifération sans précédent des bases de données qui violent le droit de la vie privée. « Tant que le gouvernement ne peut justifier partiellement chacune de ces mesures, il existe un danger de dérapage, sans même nous rendre compte, vers une société de type Big Brother. »

Les craintes exprimées par les deux officiels en 2004 sont véridiques. Conforme à une étude récente, la Grande Bretagne est à présent leader mondial de l’utilisation des technologies de surveillance de la population.

George Preda

mercredi 10 novembre 2010

@ Puces intracrâniennes

 

Des micro-puces intracrâniennes pour les soldats américains

brainchipEn 2007, le Département de la Défense des États-Unis a alloué 1,6 millions de dollars pour implanter des micro-puces intracrâniennes aux soldats américains.

Les puces sont fabriquées par C3B, (Centre for Bioelectronics, Biosensors and Biochips ) dans le cadre de l’Université de Clemson et permet de contrôler les paramètres biologiques 24h/24.

Le département de la Défense a justifié leur utilisation pour avoir la possibilité de localiser rapidement les soldats, au cas où ils sont blessés ou s’ils perdraient conscience sur le champ de bataille. De même, les puces vont être utilisées pour les surveiller et les contrôler pendant leurs permissions.

Anthony Giuseppi-Elie, le directeur du Centre C3B a annoncé que son équipe a crée aussi un gel qui imite les tissus humains, pour prévenir le rejet de la micro-puce par notre organisme.

Conforme au site Inteldaily, les soldats des troupes Delta (Delta Force) ont été déjà implantés par la micro-puce intracrânienne. Il vise à étendre le projet à tous les soldats des troupes militaires de l’OTAN.

George Preda

dimanche 31 octobre 2010

@ Fidel Castro: Al Qaeda est une invention

 

L’ex président de Cube, Fidel Castro: Al Qaeda est une invention de l’administration de Bush

Fidel Castro Al-Qaida est une invention de l’administration de Bush, pour mettre en application son plan. Ce groupement terroriste est né en fait dans le ventre de l’Empire, a affirmé l’ancien président de Cuba, Fidel Castro dans une interview publiée le 23 novembre.

Castro utilise le terme d’Empire pour désigner les USA. Al-Qaida est l’exemple typique de l’ennemi, que ceux qui ont le monopole du pouvoir utilisent à leur gré, pour justifier leurs actions. Ils ont fait de même au long de l’histoire, fabriquant des ennemis et des attaques fantôme, pour faciliter la mise en application de leur plan d’obtention de la domination du monde. 

Les Américains ont été trompés par leur gouvernement quant aux soi disant attaques terroristes de 2001. Le gouvernement américain s’est servi d’Al-Qaida comme prétexte pour mettre en application un plan élaboré bien avant la chute des Tours jumelles.

George Preda

samedi 30 octobre 2010

@ ILEA - SOA école de tortures

 

Des académies d’entraînement des forces de l’ordre public ou des écoles où l’on enseigne des techniques de tortures ?

En 2005, l’aide financière accordée à l’Amérique Latine par les États-Unis à des buts militaires a augmenté plus de 34 fois par rapport à l’année 2000. Grâce à d’important changement dans la stratégie américaine, les entraînements secrets pour le personnelle de l’armée et de la police des pays de l’Amérique latine ne sont plus effectués seulement aux États-Unis, à Fort Benning, mais aussi au niveau régional, à San Salvador.

Ici, il a été ouvert en 2005, une nouvelle école militaire de la chaîne ILEA (International Law Enforcement Academy). Les académies d’ILEA ont été crées en 1995, pendant l’administration Clinton, pour « combattre le trafic de drogue international, la criminalité et le terrorisme dans le monde entier». La première à avoir été construite est celle de Budapest, en Hongrie pour former les forces de l’ordre en Europe de l’Est. Par la suite, trois autres académies ont été crées, une à Roswell (au Nouveau Mexique, USA), une autre à Bangkok (en Thaïlande) et la dernière à Gaborone (à Botswana). La plus grande partie des dépenses est recouverte par le budget de l’État américain. L’académie de San Salvador vise à former chaque année pour toute l’Amérique latine, un peu près 1500 policiers, juges et procureur dans « des techniques de combat contre le terrorisme ».

Les déclarations sont contradictoires. La direction d’ILEA de San Salvador dit que le but de cette école est de transformer l’Amérique latine dans « un lieu sûr pour l’investissement et pour l’environnement des affaires ». Tandis que les professeurs ne sont pas seulement issus de l’ICE (Immigration and Customs Enforcement), de la DEA (Drug Enforcement Administration), mais aussi du FBI et des sociétés privées de sécurité telles que DynCorp International et Blackwater.

Cette école est comparée par les défenseurs des droits de l’homme à une police secrète. Le fait que la liste des candidats et des diplômés est strictement confidentielle, comme aussi le contenu des cours, a conduit à une multitude de comparaisons avec les sinistres écoles de SOA (School of the Americas). Suite aux investigations réalisées par le reporter Dana Priest, en 1996, il a été dévoilé que les écoles de SOA enseignent des techniques de torture. La journaliste entrée en possession d’un manuel de la SOA, dans lequel était décrit en détails les techniques de torture. Ses révélations ont été ultérieurement confirmées par une liste de diplômés de la SOA. Parmi eux, se trouvaient des noms des plus grands leaders sanglants des forces spéciales qui se « sont fait remarqués » le long du temps par des répressions violentes et sanglantes à quelques manifestations pacifiques.

Les craintes des défenseurs des droits de l’homme ont été confirmées lorsque le gouvernement américain a annoncé que le personnel de l’ILEA a l’immunité en face des lois des pays où il exerce ses activités, y compris lorsqu’il est accusé de crime contre l’humanité.

Plusieurs organisations ont fait des efforts pour déterminer ILEA à être plus transparente dans le contenu des cours et des manuels : Cuellar, IDHUCA et Freedom of Information Act (FOIA). Elles se sont à chaque fois heurtées à un refus de la part de l’académie. Le contenu de ces cours est néanmoins facile à anticiper, en analysant le comportement des forces de l’ordre en San Salvador, dont une partie d’environ 25% ont déjà suivi les cours de l’ILEA. Tous les rapports des organisations des défenses des droits de l’homme de la région (telles que Tutela Legal ou Salvadoran Human Rights Defense Office) ont enregistré au début de 2006 (un an après l’ouverture de l’ILEA au San Salvador) une augmentation sensible des actes de violence commis par les forces de l’ordre et les troupes spéciales sur la population. Elles ont remarqué aussi le fait que même si le but déclaré par ILEA est « d’assurer un environnement sûr pour les investissements et les affaires », le mode correct des actions des troupes spéciales sont basées spécialement sur la réprimande des militants pacifiques, la poursuite et la discréditation sur des potentielles dissidents et par la transformation des actions de protestations par des infractions graves, en les plaçant sous la législation anti-terroriste.

George Preda

@ APA complice de torture

 

L’association des psychologues américains, complice de torture de la CIA

Les prisonniers de guerres ou ceux considérés comme des terroristes sont dans des prisons de la CIA, comme celle de Guantanamo. Là-bas, ils sont soumis à des traitements et des interrogatoires brutaux, dans lesquels les facteurs de manipulation psychologique jouent un rôle important : plongé la tête dans l’eau froide jusqu'à quasiment la noyade, privation sensorielle, positionné et maintenu de force dans des positions inhumaines, privation de sommeil, de nourriture, d’eau ou l’interdiction d’autres fonctions biologique naturelle, humiliations et abus sexuelles, injection de substances psychotropes. C’est des APAtechniques utilisées de façon courante pour influencer, contrôler et désorienter les prisonniers, pour que ceux-ci déclarent ce que les enquêteurs leur dictent.

En mai 2008, le Département de la Justice américaine a publié un rapport condamnant les techniques d’interrogatoires utilisées par la CIA et par le Pentagone. Encore en 2005, on parle de l’implication des psychologues américains dans l’élaboration et l’application de ces traitements inhumains. L’Associations des Psychologues Américains (APA) a ouvert, par nécessité, une enquête. Après seulement deux jours, le Conseil éthique de psychologie et de sécurité national de l’APA a conclut que les psychologues en cause se sont impliqués vraiment dans cette démarche, mais cependant, ils ont joué un rôle valeureux et conforme à l’éthique professionnelle. Aucune autre détail n'a été offert. Seulement une année après, il s’est avéré que six des neuf membres qui avaient le droit de vote (suffisant pour avoir la majorité) provenaient du rand des psychologues qui travaillent dans l’armée et dans les services secrets, ayant des liens directs avec les interrogatoires de Guantanamo et autres lieux de tortures de la CIA.

Ainsi, il est apparut en fait que les psychologues, pas uniquement qu'ils ont participé aux procédures qui avaient choquées la planète entière, mais en plus, ils ont eu un rôle dans l’élaboration et la formation des enquêtes. Parmi ceux-ci, deux psychologues ont joués un rôle important : James Elmer Mitchell et Bruce Jessen. Tous les deux ont travaillé initialement dans le cadre du programme de Survie, Résistance et fugue (Survival, Evasion, Resistance, and Escape – SERE), qui entraîne des soldats américains, pour survivre en conditions de captivité dans le cas où ils tombent dans les mains de l’ennemi. Mitchell et Jessen ont repris ces techniques et les ont appliquées dans le sens inverse, pour déterminer les prisonniers arrivés dans les mains de l'armée américaine dans le cadre "de la guerre globale contre le terrorisme", de céder à la pression.

APA a environ 150 000 membres et est la plus importante association de psychologues du monde. À la différence de l’Association des Médecins Américains et l’Association des Psychiatres Américains qui en 2006, ont interdit aux membres de participer aux interrogatoires des prisonniers qualifiés de terroristes, l’APA a soutenu que l’implication des psychologues est absolument nécessaire pour empêcher des abus.

Le dr. Jean Maria Arrigo, un des trois membres civiles du Conseil d’éthique psychologique et de la sécurité nationale d’APA, qui a réalisé l’enquête, montre que la présence des psychologues est loin d’assurer l’équilibre et l’indépendance. Elle montre que le président de l’APA, Gérald Koocher, détient le contrôle sur les décisions du Conseil d’éthique et elle sait dés le début que six des neuf décidants font les jeux de la CIA. En plus, le cadre législatif des États-Unis définit la torture en des termes vagues et ne précise aucune limite quant à l’implication et la participation des psychologues à ces interrogatoires. L’objectif déclaré à l’APA est le progrès de la science de la psychologie pour promouvoir la santé, l’éducation et l’état de bien être de l’homme. Le rôle des psychologues en ce qui concerne les détenus ne devrait aucunement être celui d’imaginer de nouvelles techniques de torture. 

La direction du Conseil de l’association a refusé la demande initiale d’interdire aux membres de l’APA de participer aux interrogatoires abusifs des détenus. Beaucoup de psychologues ont protestés devant cette décision. Parmi cela, on compte aussi le dr. Steven Reisner, membre de la Coalition pour l’Éthique de l’APA. Celui-ci a directement demandé les membres de la direction du Conseil de préciser la raison pour laquelle ils refusent d'accepter un moratoire qui représente la conviction majoritaire des membres de l'APA.

Finalement, au début de septembre 2008, après de nombreuses pressions et protestations des membres, la direction du Conseil de l’APA a décidé d’organiser une assemblée générale, exprimant ainsi par vote l’opinion en ce qui concerne l’implication dans les interrogatoires des détenus des prisons de la CIA. Une écrasante majorité des membres de l’APA ont voté pour interdire la participation des psychologues aux actions déshumanisantes et non-conformes aux objectifs et à leur éthique professionnelle.

George Preda

 

mercredi 27 octobre 2010

@ Pacifistes = Terrorisme

 

Les protestations pacifiques contre la privatisation de l’eau au Salvador sanctionnées comme des actes de terrorisme

Au mois de juillet 2007, la police du Salvador a réprimé avec violence les protestations pacifiques organisées contre la privatisation de leurs ressources et leurs réseaux de distribution d’eau courante. 14 personnes ont été arrêtées puis par surprises accusées, d’actes de terrorisme. Le Salvador est le seul pays de l’Amérique du Sud qui a adopté une loi contre le terrorisme, une copie fidèle du controversé « Patriot Act » des États-unis.are you

Les organisations de défense des droits de l’homme ont condamné cette mesure, en montrant que l’action de protester pour avoir de l’eau à un prix acceptable cela ne peut pas être considérée comme un acte de terrorisme. La communauté de Santa Eduviges a demandé que leur système d’eau soit re-nationalisé, dans des conditions dans lesquels le parti étant au pouvoir envisage d’imposer une loi pour que toutes les sources du Salvador soient privatisées. La Loi Générale de l’Eau (General Water Law) prévoit que l’administration de l’eau passe du contrôle national au contrôle municipal, et ensuite les autorités locales cèdent l’eau de source et le système de distribution à des sociétés privées, sur une période de minimum de 50 ans.

L’organisation des travailleurs de l’Administration Nationale de l’Eau se trouvant à la base des protestations accuse le gouvernement de mener une campagne pour réaliser un boycott financier, par des réductions massives du budget, de cette institution d’État. Elle a parlé aussi de pressions médiatiques pour donner à l’opinion publique l’impression que la privatisation est justifiée et absolument nécessaire. L’organisation montre que, dans les conditions de privatisation totale, 40% de la population risque de rester sans eau, parce qu’elle ne pourra pas se permettre de payer.

De telles tentatives ont été faites aussi dans d’autres pays d’Amérique latine. Le cas le plus connu est celui de Cochabamba, en Bolivie, où la Banque Mondiale a conditionné d’accorder des emprunts par la privatisation des sources d’eau. La gestion de l’eau est arrivée ainsi aux mains de la méga corporation Betchel, qui a conduit à une augmentation de 200% du prix. Finalement, la compagnie a été forcée par la population de quitter le pays, et le système de distribution d’eau est revenu de nouveau sous le contrôle public.

Après l’échec en Bolivie, la Banque Mondiale a été plus prudente. Elle n’a pas changée de pratique, mais seulement, elle a pris soin d’utiliser d’autres termes : « concession », « décentralisation » ou « participation du secteur privé ».

Après 26 jours de détention abusive, les 14 manifestants accusés de terrorisme ont été mis en liberté conditionnelle, par la pression de l’organisme de défense des droits de l’homme. Ils ont reçu ainsi une interdiction de ne pas quitter le pays pendant 7 mois. Finalement, l’accusation d’acte de terrorisme a été complètement retirée. Les Mass médias n’ont pas donné autant d’importance à cet ultime évènement.

« Cela a été une expérience extrêmement dure », a déclaré l’une des 14 personnes arrêtées. « Je n'aurais jamais imaginé que je pourrais arriver dans une prison en temps de paix et sans avoir commis une seule infraction. De telles arrestations font parties d’un plan du gouvernement pour diaboliser les mouvements de protestations et pour aussi intimider les gens. »

Les même points de vue est partagé par Pedro Juan Hernandez, professeur d’économie à l’Université du Salvador et militant pour les droits de l’homme : « L’objectif de cette loi n’a jamais été la lutte contre le terrorisme, pour que dans notre pays nous n’avons eu aucun acte de terrorisme. L’objectif est de transformer les mouvements sociaux de protestation en quelque chose de criminel et d’emprisonner les leaders à tous prix. Jusqu‘à maintenant au Salvador, on a protesté pour l’accès libre à l’eau, à la santé et à l’éducation, maintenant il faudra que l’on organise des actions pour que notre droit à manifester soit respecté.

Mihai Vasilescu

jeudi 30 septembre 2010

@ Baxter et la grippe aviaire

La société pharmaceutique Baxter a confirmé d'avoir vendu un produit infecté par le virus de la grippe aviaire

Dans un laboratoire tchèque ont mourus de nombreux animaux de laboratoire (furets blanc) injectés avec un vaccin produit par la société Baxter. L'incident a éveillé des soupçons qui ont été prouvé et justifiés : les analyses ont prouvé que les produits respectifs contenaient le virus active du type H5N1, celui qui produit une grippe aviaire redoutable. Beaucoup plus encore, on a prouvé que le vaccin était simultanément infecté aussi par le virus qui produit la grippe humaine, H3N2 !

vaccinationL'enquête de l'Organisation Mondiale de la Santé n'a pas encore été finalisée, les déclarations officielles expriment l'intention d'élucider les causes de cet incident extrêmement dangereux. Le problème ne réside pas seulement dans la livraison des produits contaminés par le virus de la grippe aviaire, mais dans la combinaison de celui-ci par le virus de la grippe humaine, la pratique sur laquelle les experts en biosécurité affirment qu'il faudrait complètement l'interdire, parce qu'il peut porter une apparition d'une mutation pour infecter les êtres humains avec la grippe aviaire. Dans ce mode, on pourrait arriver à une pandémie sur laquelle on a tous parlé ces derniers temps.

Le vaccin simultanément infecté par le virus de la grippe aviaire et humaine a été vendu par la société Baxter, une entreprise de AVIR Greenhills Biotechnology en Autriche, qui à son tour l'a commercialisé à quatre autres sociétés de la République Tchèque, de la Slovénie et de l'Allemagne. Ainsi est arrivé le produit respectif au laboratoire tchèque. Le porte-parole de la société Baxter a donné une déclaration, qui pratiquement confirme la contamination du vaccin par le H2N1, le mettant sur le compte d'une erreur et du faite que les vaccins pour les animaux ne sont pas vérifiés comme ceux pour les humains.

Voici la déclaration de Brem-Voght, le porte-parole de Baxter : "étant donné que cette substance n'a pas été produite pour être utilisée par les Hommes, la routine de fabrication n'implique pas des tests pour une potentielle contamination. Baxter a envoyé cette substance à la société AVIR Greenhills en Autriche, et eux, ont à leur tour rapporté qu'ils l'ont envoyé plus tard à 4 laboratoires avec lesquels ils ont des contrats. L'infection du produit n'est pas due à un problème de sécurité, mais due à un problème de combinaison unique d'erreurs de processus techniques et humains, dans la procédure spécifique de ce projet de recherche."

Bien que les déclarations officielles parlent sur des erreurs et accidents, le cas révèle le fait qu'ils font des expériences qui visent à créer dans des laboratoires le virus de la grippe aviaire, qui affecte l'être humain, en générant ainsi une terrible pandémie.

George Preda

mercredi 29 septembre 2010

@ Campagne obligatoire de vaccination contre la grippe

 

Le gouvernement français va dépenser environ un milliard d'euros pour un programme de vaccination obligatoire contre la grippe proche, qui sera démarrer cet automne.
La France prépare un plan de bataille sans précédent pour cet automne, y compris une campagne de vaccination obligatoire pour tous les français à partir de l'âge de 3 mois. vaccinsD'après nos informations, l'État va placer une commande de 100 millions d'unités de vaccin antigrippale à trois laboratoires (GlaxoSmithKline, Sanofi et Novartis), affirme la journaliste Marie-Christine Tabet de Le Journal du Dimanche.

Anne Laure, codirecteur de Institute of Health de la Université Paris Descartes a déclaré que: personne n'aura droit, à l'exception des cas très graves de contrindication médicale, de refuser la vaccination.

Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, une production de jusqu'à 4,9 milliards de doses de vaccin contre la grippe porche est parfaitement réalisable. Un programme pilot de vaccination surveillée est déjà en cours de développement dans l'Union Européenne.

Au mois d'avril, l'administration Obama aussi a annoncé qu'il a été analysée la possibilité de déclencher la production en masse d'un tel vaccin, et dans ce sens il a été sollicité d'allouer en urgence une somme de 1,5 milliards de dollars. Ce programme va offrir aux américains trois types de vaccin, un pour la grippe saisonnière annuelle et deux pour H1N1. Il serait pour la première fois qu'un effort d'une telle envergure serait mis en pratique.

Ceux qui travaillent maintenant en collaboration avec l'Organisation Mondiale de la Santé (WHO – World Health Organization) pour trouver un vaccin spécifique à l'actuel type de grippe porche, ont été sollicités ceux de Baxter International, compagne médicale impliquée dans quelques scandales liés à la contamination des vaccins par le virus aviaire H5N1, distribués dans 18 pays.

Mihai Vasilescu

mardi 28 septembre 2010

@ Déficit Sécu Mensonge

 

  

Il faut à Evelyne DUBIN, la signataire de ce document une bonne dose de courage pour avoir écrit ce texte en se nommant (voir la fin du texte).

L'ASSURANCE MALADIE  

50 secondes de lecture à couper le souffle.

Pour combler le déficit de la sécu, nos chers gouvernants ont trouvé que le mieux, c'était encore de nous faire payer...

  • - Dorénavant, sur une consultation médicale, nous versons 1 euro,
  • - Nous sommes restreints lors de nos arrêts maladie ....
  • - Nous devons consulter un généraliste avant de voir un spécialiste ...
  • - Pour tout traitement de plus de 91 euro, nous en sommes de 18 euro de notre poche,
  • - Taxe de 0,50c sur les boites
  • - etc.......

Toutes ces mesures sont destinées à combler le fameux trou qui est à ce jour de 11 milliards.

Or, savez-vous que :

  1. Une partie des taxes sur le tabac, destinée à  la Sécu , n'est pas reversée. 7.8 milliards
  2. Une partie des taxes sur l'alcool, destinée à  la Sécu , n'est pas reversée..3.5 milliards
  3. Une partie des primes d'assurances automobiles destinée à  la Sécu , n'est pas reversée 1. 6 milliards
  4. La taxe sur les industries polluantes destinée à la Sécu , n'est pas reversée 1,2 milliards
  5. La part de TVA destinée à  la Sécu n'est pas reversée. 2.0 milliards
  6. Retard de paiement à  la Sécu pour les contrats aidés 2.1 milliards
  7. Retard de paiement par les entreprises 1.9milliards

En faisant une bête addition, on arrive au chiffre de 20 milliards d'euros.

Conclusion : si les responsables de  la Sécu et nos gouvernants font leur boulot efficacement et honnêtement, si chacune des institutions reverse ce qu'ils doivent chaque année , les prétendus 11 milliards de trou seraient aujourd'hui 9 milliards d'excédent!!! .

Ces chiffres ne sont pas inventés vous pouvez les consulter sur le site de la sécu ; ils sont issus du rapport des comptes de  la Sécu.

Si les pouvoirs publics, qui nous harcèlent au quotidien de messages publicitaires afin de consommer des fruits et légumes, étaient vraiment convaincus qu'il nous faut consommer 5 fruits et légumes par jour pour sauver notre santé et donc l'assurance maladie, ils supprimeraient  la TVA sur ces produits ! 

N'oubliez pas d'avoir une petite pensée sur l'achat, à la hâte, des 90 Millions de doses de Tamiflu par le ministère de la santé publique, quand on sait que la grippe A n'est pas plus mortelle et dangereuse pour vous et moi que la grippe saisonnière classique. Hélas on ne peut en dire autant des dommages collatéraux potentiels qui existent réellement dans les adjuvants que contiennent les vaccins!!!

Quel sera le coût de cette opération, que la sécu va supporter une nouvelle fois, lorsque le gouvernement sera décidé à dédramatiser la situation !!!

Cordialement.

Evelyne DUBIN Secrétaire Générale Adjointe au Directeur Général de Institut National du Développement Local

lundi 27 septembre 2010

@ Des virus comme additifs alimentaires

 

La FDA approuve pour la première fois l’utilisation des virus comme additifs alimentaires

La FDA a annoncé au milieu de l’année 2006, l’approbation d’un additif alimentaire antimicrobien, qui contient un mélange de virus bactériophages. « La décision prise par la FDA est la première autorisation pour l’utilisation des virus comme additifs dans les aliments », dit Andrew Zajac, du Bureau de la Sécurité des Additifs Alimentaires au FDA. «Le “cocktail” approuvé contient 6 virus et il se pulvérise sur la viande prêt à couper et sur les préparations de viande, FDA pour tuer les microbes qui font tombés malades 100 personnes chaque année », a précisé John Vazzana, le président et le chef exécutif de la compagnie Intralixx, qui a découvert cet additif.

La FDA a déclaré que les virus bactériophages sont spécialement faits pour détruire la trace de la Lysteria Monocitogene Bacterium. La bactérie peut produire une infection grave nommée la listériose, du moins aux femmes enceintes, aux nouveau-nés et aux adultes avec un système immunitaire faible. Conforme aux statistiques, le Centre Fédérale de Contrôle et de Prévention au Maladie (CDC), estime qu’aux États-Unis, 2500 personnes tombent gravement malades dont 500 qui décèdent par an par la Listéria.

Le Bureau de la Sécurité des Additifs des Aliments a justifié que les plats préparés à l’avance à base de viande, qui n’ont pas besoin d’être cuisinés ou d’être réchauffés, sont spécialement vulnérables à la Listéria, puisqu’ils ne sont plus soumis au processus thermique de destruction des bactéries nocives. De même, la FDA a motivé que le produit bactériophage viral détruit seulement les germes de la Listéria, et non pas les cellules humaines ou végétales.

Cependant, les consommateurs ne savent pas quels sont les produits de viande traités avec cet additif contenant un mélange de virus et quels ne sont pas. La FDA reconnaît que l’additif viral pourrait contenir des résidus toxiques de la bactérie, mais les expériences n’ont mis en évidence aucun résidu toxique, qui « toutefois, en étant en petite quantité, ne mettrait pas la santé en danger ». La compagnie Intralixx, basée à Baltimore aux États-Unis, a envoyé en 2002 à l’agence FDA, une demande d’approbation pour l’utilisation des virus comme additifs. Alors, Intralixx a vendu la licence de l’additif à une compagne multinationale, qui à l’intention de la commercialiser dans le monde entier.

Gregorian Bivolaru

dimanche 26 septembre 2010

@ Loi américaine introduise l’eugénisme

 

Un nouveau projet de loi américaine introduit les pratiques génétiques qui réactualisent l’eugénisme

En décembre 2007, l’ancien président américain George Bush, a signé un projet de loi qui prévoit de stocker et d’utiliser à but expérimental du matériel génétique aux nouveaux-nés, sans le consentement des parents.

Sous une appellation d’une manipulation évidente – La loi du contrôle génétique des nouveaux-nés qui sauve des vies (The Newborn Screening Saves Lives Act ou S 1858) – elle prépare le terrain pour construire une base de donnée nationale de matériel génétique. Le ministre américain de la Santébabyneedle a déclaré que cette loi fait partie d’un ample plan national, visant à prévenir et à préparer face à une possible situation urgente, pouvant apparaître inclusivement dans le domaine de la santé publique.

Voici ce que prévoit la nouvelle loi :

  • l’établissement d’une liste d’analyse génétique que subiront les nouveaux-nés
  • les règles de stockage des informations génétique sur une base de donnée biologique
  • le protocole pour réglementer le changement d’information génétique
  • un système de surveillance de l’état de santé des individus diagnostiqués à la naissance ayant des défaut génétique (le principe qui tient des pratiques eugéniques, appliqués par les nazis)
  • l’utilisation des informations par le gouvernement pour identifier, lister et étudier les prédispositions génétiques des individus et des familles
  • l’utilisation du matériel génétique pour réaliser des tests, des expériences et des recherches sans avoir besoin du consentement des parents.

Cette mesure ne va pas être appliquée seulement pour les nouveaux-nés, mais aussi pour les nourrissons ayant 6 mois maximum.

Le Département de la Santé de l’État du Minnesota, où cette loi a été appliquée en secret, a testé la réaction publique, et a annoncé aux parents et aux associations médicales, que l’on a déjà réalisé une récolte de matériel génétique sur 780 000 nouveaux-nés. Parmi cela, le sang et l’ADN de 42 210 enfants ont été utilisés dans diverses expériences et recherches du gouvernement. Le tout sans l’accord des parents.

Le Conseil des Citoyens des Services Médicales (Citizens' Council on Health Care, CCHC) a été l’un des organismes qui ont tentés une action en justice au Département de la Santé du Minnesota. Twila Brase, la présidente de CCHC a déclaré : Cette loi est inconstitutionnelle et elle crée un danger sans précédent. Elle va faire que bientôt l’ADN de tous les américains soit stocké dans une bio-banque génétique du gouvernement puis elle va considérer que c’est sa propre propriété. L’ADN prélevé à la naissance sans le consentement des parents transforme chaque citoyen américain en un cobaye.”

George Preda

samedi 25 septembre 2010

@ Monsanto, OGM des profits gigantesques

 

Monsanto, la compagnie productrice d’organismes génétiquement modifiés, obtient des profits gigantesques qui suivent la crise mondiale

On parle de plus en plus sur une crise alimentaire imminente au niveau mondial. Qui a l’intérêt de spéculer la peur de base des gens de ne pas mourir de faim ? Qui alimente et qui profite de cette crise ?

Beaucoup de politiciens propagent, avec l’aide des mass-médias, l’idée de crise alimentaire. En parallèle, ils font aussi une publicité sur les organismes génétiquement modifiés, qu'ils présentent comme la solution pour sauver les Hommes ou la seule solution de combattre la famine. Avec de tels soutiens politiques et médiatiques, il n’est pas étonnant que les firmes d’organismes génétiquement modifiés fassent des profits astronomiques, malgré le fait que ces produits sont extrêmement nocifs pour la santé et nuisible pour l’écosystème.

L’Organisation des Nations Unis de l’Alimentation et de l’Agriculture (FAO) montre dans un rapport que 37 pays dans le monde souffrent des diminution des ressources alimentaire ou de famine. Au début de 2008, le prix du riz, du maïs et du soja a significativement augmenté . Ces hausses sont mis aux dépens du prix du pétrole, aux changements climatiques, à l’appauvrissement du sol et même à la culture des plantes pour le biocombustible. Tout cela sont encore de faux problèmes. À l’heure actuelle, il existe suffisamment de preuves qui indiquent comment est le prix élevé du pétrole artificiellement maintenu, comment il est décourageant d’utiliser des sources alternatives d’énergie et de combustibles, comment est manipulé le climat par l’encouragement des pollutions et de l’utilisation de quelques technologies criminelles du genre HAARP.

Ils sont passés encore sous le silence les intérêts de quelques que méga-corporations, comme Monsanto et le mode dans lequel ceux-ci tirent toutes les ficelles possibles pour créer un cadre propice de ventes de leurs propres produits. Ayant le soutient politique dans les plus hauts niveaux, de telles méga-corporations arrivent à établir le prix des aliments. Dans un mode insidieux, elles sapent les activités des petits fermiers, qui pour survivre, ont besoin de se rediriger vers la culture des produits génétiquement modifiés.

En tuant tout autour, Monsanto obtient des profits astronomiques. En 2007, elle a eu un bénéfice d’un milliard de dollars, une augmentation de 290% par rapport à 2005, tandis que la firme Exxon Mobil, une des plus grande du monde, a eu un bénéfice de seulement 12% en 2007. De nouveau en 2009, Monsanto a annoncé une augmentation du prix des graines de maïs, un des produits dont ils ont déjà imposé le prix sur le marché, avec 35%.

Dans une interview, le directeur exécutif de Monsanto, Hugh Grant, se manifeste satisfait face à ces résultats, toutefois mettant à jours les clés du succès de la compagnie qu'il conduit : les actuelles inquiétudes mondiales au sujet des combustibles et des aliments nous ont offert une opportunité significative sur le marché.

Mihai Vasilescu

jeudi 23 septembre 2010

@ OGM – Oseille Garantie Masse

 

Le premier ministre britannique propose l’utilisation des organismes génétiquement modifiés en tant que solution pour la résolution de la crise mondiale

babouse

 Au mois d’octobre 2008, le premier ministre britannique, Gordon Brown a envoyé une lettre au secrétaire général de l’ONU, aux représentants du Fond Monétaire International et à la Banque Mondiale, aussi qu’au premier ministre du Japon, pays qui détient la présidence de G8. Dans cette lettre, Gordon Brown propose un plan de résolution de l’actuelle crise financière mondiale. Parmi ces solutions se trouve aussi la culture à large échelle des organismes génétiquement modifiés (OGM).

La presse corporatiste a déjà démarré une campagne de promotion de cette idée à travers de titres genre Les organismes génétiquement modifiés pourraient contrecarrer l’augmentation des prix des aliments ou Les organismes génétiquement modifiés, la seule solution pour combattre la famine. Un article de propagande publié en Roumanie affirme: Dans les conditions où plus de la moitié des produits agricoles importés par les européens du Nouveau Monde sont génétiquement modifiés, les spécialistes dans le domaine alimentaire soutiennent qu’il est inutile que la population se demande si les OGM sont bons ou non, parce qu’ils font déjà partie de notre vie.

Dans la note d’explication de sa proposition, Gordon Brown présente l’idée de la culture et de la consommation d’organismes génétiquement modifiés comme étant une nécessité dictée par la crise financière globale. Le pouvoir d’achat des consommateurs a sensiblement baissé, soutient-il. Mais c’est toujours lui qui affirme plus loin que dans les pays développés la consommation a atteint des cotes très hautes. D’autre part, les produits alimentaires classiques ont des prix de plus en plus grands. La population du globe a augmenté les dernières décennies. La quantité et la qualité de la production agricole sont affectées par les modifications climatiques et par la réduction des surfaces de blé et de maïs, par la culture des plantes nécessaires à la production de biocombustible qui remplace le pétrole. Les aliments génétiquement modifiés sont bien moins chers et plus profitables que ceux naturels.

Les firmes américaines, au top desquels se trouve la compagne Monsanto réalisent un intense lobby en Europe pour vendre ici leurs produits. Les organisations de protection du milieu parlent même d’un nouvel type de pollution – la pollution génétique – du fait que les nouvelles espèces, une fois lancées dans la nature infestent les organismes existants.

La Commission Européenne a autorisé jusqu’à présent l’utilisation sur le territoire des États membres de cinq organismes génétiquement modifiés : trois types de maïs, un de betterave et un de soja.

Du fait que les pays de l’UE sont obligés par les engagements signés d’appliquer les directifs de l’Union, et les lois européennes sont prioritaires en rapport avec celles nationales, on peut s’attendre à ce que ces organismes soient introduits en Roumanie aussi, par simple obédience envers les directifs tracés du Centre.

Mihai Vasilescu