lundi 30 août 2010

@ Big Brother dans l’avion

Des cameras cachés espionnent le comportement des passages de l'avion

Un nouveau système genre Big Brother est testé afin d’être implémenté dans les avions européens, dans le but d’identifier les “potentiels terroristes”.

Le projet de l’Union Européenne pour la Sécurité des Vols dans le Futur Milieu Européen (SAFEE) prévoit l’installation des caméras vidéos, pas plus grands qu’une ongle, sur la surface des dossiers des chaises des avions. Ceux-ci vont enregistrer chaque sursaut, clignotement, expression faciale ou mouvement des passages, renvoyant des informations dans un ordinateur qui analysera les données et vérifiera le profile psychologiques de chaque personne.

En plus,modele safee les chaises seront douées avec des systèmes audio, capables d’enregistrer les conversations entre les passagers, jusqu’aux plus bas chuchotements. La raison ? Les scientifiques de SAFEE prétendent que les terroristes (d’habitude assimilés aux musulmans) ont l’habitude de prier à basse voix avant l’attaque et que les mouvements faciaux infinitésimaux trahissent leur nervosité.

Le système a très bien répondu aux testes réalisés en janvier 2008, lors de la simulation de la présence d’un passager terroriste dans un vol Airbus A380, disent ceux qui l’ont construit. C’était une personne qui bougeait sans arrêt, qui allait souvent vers la zone qui va vers la cabine des pilots et qui présentait toutes les combinaisons de signes qui suggèrent une menace, a déclaré James Ferryman de University of Reading, Grande Bretagne, l’un des auteurs du système.

C’est toujours qui nous assure qu’il est possible de faire la distinction entre les signaux faux, générés par la peur de vol ou par le stress et les signaux avec potentiel terroriste. Dans la dernière catégorie entrent: le clignotement fréquent, les mouvements rapides des yeux, l’humectation fréquente des lèvres, la transpiration excessive, le toucher fréquent du visage, du nez ou des oreilles.

Le développement de ce système qui, sous le prétexte du combat du terroriste est en fait un nouvel instrument de surveille de la population, coûte 25 millions de lires, argent qui aurait pu être utilisé de façon beaucoup plus efficace.

George Preda

dimanche 29 août 2010

@ Contrôle total de la Grande Bretagne

 

Contrôle total sur les informations électroniques sur le territoire de la Grande Bretagne

La Centrale de Communications du Gouvernement britannique (Government Communications Headquarters – CGHQ) a sollicité l’accès à toutes les informations liées aux courriels, SMS et adresses visitées par l’internet sur le territoire de la Grande Bretagne. CGHQ a déjà reçu un support financer de 1,3 milliards d’euros pour créer un système centralisé d’interception et surveillance des informations.

Le programme de modernisation des interceptions (Interception Modernisation Programme) permet à CGHQ et MI6 d’avoir accès à une base de données qui contiendra le profil communicationnel et l’historique de tous les messages électroniques de tout citoyen britannique. Il est estimé que son envoyés 57 milliards de SMS et 3 milliards de courriels, les souteneurs du projet ont motivé cette puissante immixtion dans la vie privée comme mesure de première importance dans la détection des réseaux terroristes. D’autre part, l’initiative de CGHQ a provoqué des protestations, même parmi les parlementaires britanniques. Le député Jacky Fletcher s’est opposé contre cette énorme violation des droits de l’homme.

de Mihai Vasilescu

 

vendredi 27 août 2010

@ Les groupes pacifiques surveillés

 

La police américaine marque les groupes pacifiques de protestation de droits à des groupes terroristes

Au mois de juillet 2008, le Département de Police du Maryland (USA) a été marqué d’un grand scandale. Une série de documents internes, qui révélaient la façon abusive dans laquelle des groupes pacifiques étaient surveillés, étant considérés comme des terroristes, ont été rendus publiques. Le Congrès américain a demandé des explications, tandis que le chef de police du Maryland, Terrence Sherridan, a fallu qu’il justifie ces abus, par une lettre adressé au président de la Commission Juridique du Sénat américain.Mariland Police

Les documents montrent qu’à cette période, entre 2005 et 2007, plusieurs groupes qui militent pacifiquement contre la peine de mort, pour la protection de l’environnement et des animaux ou pour les droits de l’homme ont abusivement été catalogués comme des terroristes et ensuite surveillés attentivement. Parmi eux, on trouve le bureau local de Amnesty International.

Ces mesures ont été implantées immédiatement après la formation dans le département de la Police de Maryland d’un département antiterroriste. Pour justifier l’existence de ce département, il était nécessaire d’avoir des terroristes. En leur absence, les chefs de la Police du Maryland se sont orientés sur quelques groupes de proteste de la région. Les documents prouvent que parmi les objectifs de ce département est : d’identifier les menaces de la sécurité publique que représentent les groupes de proteste, d’identifier dans ce cadre, les groupes qui représentent une grande menace et les surveiller continuellement.

À cet effet, on a ordonné l’infiltration de quelques officiers sous couverture dans les rangs de ces groupes. Les documents donnent des détails sur l’un des officiers, une femme, infiltrée dans un groupe qui milite pacifiquement contre la peine de mort. De cette façon, les documents montrent, l’officier en cause va se former en pratique et va gagner de l’expérience dans des missions sous couverture.

Pendant plusieurs mois, l’espion transmet aux chefs son rapport hebdomadaire, qui montre très clairement que les membres du groupe avaient des activités pacifiques et promouvaient la non-violence. Avec tout cela, le rapport se finissait inévitablement avec la recommandation : Grâce aux faits étalés ci-dessus, je sollicite de maintenir l’ouverture de ce cas et de continuer la missions.

Finalement, il a été décidé de fermé toue cette mission, surtout les chefs considéraient être un exercice de formation à risque réduit. L’officier en cause a été impliqué dans d’autres missions sous couverture : l’infiltration dans un groupe de militants anti-guerre, où il était averti que cette fois, il va rencontrer les activistes qui peuvent causer des turbulences sociales. Ses rapports montrent encor un élément qui parlait de gens pacifique.

Une troisième mission a été de participer à un groupe de militants pour les droits des animaux, sur lesquels la police avait des informations qu’ils se mettaient en route pour libérer les poulets d’une ferme dans la région, où les poulets étaient élevés dans des conditions inappropriées. Le rapport de l’agent sous couverture montre qu’ à la rencontre personne n’a rien dit sur les poulets. Ce qui a été hilarant dans cette situation, ce groupe était fiché dans la base de donnée de la Police justement comme groupe de terroristes.

En lui demandant des explications quant à ces classifications, Sheridan a déclaré qu’il a procédé comme cela pour que la base de données standardisées ne permettait pas la sélection d’autres options, comme le groupe de protestants contre la guerre ou le groupe de défense des droits de l’homme. La seule option disponible, qui a parut aux policiers la plus appropriée, a été groupe terroriste. Ces informations ont été envoyées dans cette forme dans une base de donnée nationale.

Sheridan reconnaît dans la lettre adressée au Sénat qu’en plus de l’identification des personnes présentes aux actions de protestations, le rassemblement d’informations sur elles et les missions sous couverture, les officiers étaient impliqués aussi dans la surveillance sur internet et la réalisation d’interventions sur les forums et les groupes de discussions.

George Preda

@ Cray, le super ordinateur NSA

 

La veuve noire, le super ordinateur qui espionne la vie des américains

Cray, le super ordinateur NSA Cray, le super ordinateur NSA (National Security Agency ou Agence de sécurité nationale des États-Unis) ou « la veuve noire », ainsi qu’il est surnommé, il scanne et il stock des millions d’appels téléphoniques et des e-mails par heure. La veuve noire a la capacité de réaliser des centaines de milliards de calculs par seconde, pour identifier des mots clés et détecter le des patterns partenaire de la communication dans en plusieurs de langues.

Au mois de juillet 2008, George W.Bush a approuvé un amendement qui modifie la loi FISA (Foreign Intelligence Surveillance Act) et accorde à NSA des pouvoirs encore plus grands, sous prétexte d’identifier certains partenaire patterns de communications, dont ilqui suggèrent des liens avec des groupes de terroristes.

L’Union Américaine pour les Libertés Civiles (ACLU - American Civil Liberties Union) a contesté en justice cette amendement, qui viole le droit constitutionnel à la vie privée : « Le gouvernement se permet maintenant de réaliser une surveillance intrusive, sans permission d’un juge, sans spécifier l’intention d’espionner, à quelles fins et sur la base dont de quelle les illégalités commises de la cible par celui visé. »

Cette loi accorde l’immunité aux sociétés de télécommunications qui jusqu’à présent ont enregistré comme jusqu’à présent des entretiens, dans le cadre de certains programmes ultrasecrets d’interceptions. La nouvelle loi résout ainsi un problème épineux pour l’administration américaine, celui des procès intentés par des citoyens qui ont découvert qu’elles qu’ils sont illégalement interceptées illégalement.

aclu

L’existence de ce programme ultrasecret n’est pas attestée seulement par de nombreuses plaintes, mais aussi par des personnes qui ont travaillé dans les entreprises de télécommunications et ont vu de leurs propre yeux comment sont copiées les informations. Par exemple, Mark Klein, un technicien qui a travaillé pour AT&T Inc (Compagnie Américaine de Télégraphe et Téléphone) a révélé comment il a découvert dans le siège de Chicago, une chambre secrète dans laquelle se trouvaient des câbles et des dispositifs que à l’aide desquels la NSA intercepte les données. « On ne parle pas seulement des données du réseau AT&T Inc.», qu’il a-t-il montré. « AT&T Inc. est connecté aussi à d’autres grands réseaux, tel que Sprint, Qwest, Global Crossing, UUNET, etc....… Pour eux, il est très facile de prendre toutes les données sans faire de sélection. Pur et simple ils ont d’avoir un ’splitter‚ (un dispositif qui distribue en deux ou en de nombreuses lignes de communications, les même données). »

Dans un livre « l’usine de l’ombre » (The Shadow Factory), James Bamford aborde ce sujet et il cite John Michael McConnell, le directeur des services secrets américains pendant l’administration Bush, qui a déclaré « l’enregistrement des appels est seulement un des nombreux programmes ultrasecrets approuvés par George Bush après les évènements du 11 septembre 2001. » McConnell a également ajouté que « la NSA réalise une interception permanente. »

George Preda

lundi 23 août 2010

@ La Grande Bretagne - préfiguration du modèle fasciste de demain

 La Grande Bretagne - préfiguration du modèle sinistre de la société planétaire fasciste de demain

La Grande Bretagne est devenue le premier État totalitaire moderne. Bien qu'en Grande Bretagne, il n'existe pas de camps de concentration ou de goulags, la police a reçu un pouvoir sans précédent, de nature à dicter le mode de penser des citoyens britanniques et de condamner sévèrement tous dissidents. La Grande Bretagne s'est transformée en une préfiguration du modèle sinistre de la société planétaire fasciste de demain.
Le gouvernement britannique a imposé une législation qui va incriminer les blagues cataloguées à être "incorrectes du point de vue politique" et qui va condamner les "malfaiteurs" totalitarismejusqu'à 7 ans de prison.
La revue The Australian a collecté dans les 10 dernières années un nombre impressionnant de rapport de certains cas de condamnation draconienne (incluant aussi l'arrestation des enfants) pour "des infractions contre la justesse politique".

Voici quelques exemples :

► Codie Stott, une élève âgée de14ans, a été répartie dans la réalisation d'un projet scolaire dans un groupe d'enfants asiatiques parlant la langue Urdu, dans lequel seulement un connaissait l'anglais. Elle a prié le professeur de la placer dans un autre groupe dans lequel elle comprendrait aussi ses collègues. La direction du cadre didactique a été terrible, en lui s'adressant de façon très dure, elle a été accusée de racisme et elle a été dénoncée à la police. Après quelques jours, la fillette a été levée et transportée à la section de police où on lui a pris ses empreintes, on l'a photographié, interrogé et après on l'a enfermé dans une cellule pendant 3 heures et demie.
► Durant une querelle dans la cour d'une école, un enfant de 11 ans a dit à un autre, de 10 ans, qu'il est un "sconcs". Celui de 10 ans lui a répondu "Bin Laden", suffisant pour être arrêté et envoyé devant un juge, qui a dit qu'il était absurde de prendre des poursuites pénales contre un enfant pour des raisons de justesse politique, ajoutant qu'il existe des crimes majeurs dans la société pour lesquels la police ne se dérange même pas. Par la suite, l'enfant de 10 ans a renoncé à l'école.
► Basil Brush, un acteur d'une émission de télé pour enfants a été enquêté par la police pour avoir fait une blague sur les gitans. La BBC a qualifié son comportement comme impropre et a assuré la police que la diffusion de l'épisode respectif sera interdite.
► Au début de cette année, les parents chrétiens et musulmans ont été menacés par des poursuites pénales dans le cas où ils objectaient contre les leçons où on promouvait le mariage entre les homosexuels ou l'adoption d'enfant par ces couples.
► Dans les derniers mois ont été enregistrés d'innombrables cas de gens qui ont perdu leur travail dans des écoles, hôpitaux ou autres institues pour des motifs religieux. Le plus grave, c'est que l'on procède comme dans le temps de la période noire du communisme, par des trahisons de quelques conversations privées…. Un célèbre cas est celui de l'assistante Caroline Petrie, qui a interrogée un patient s'il souhaitait prier pour lui. Il a dit à son collègue de l'assistante, qui a fait son "devoir de citoyen".
► Jennie Cain a raconté qu'il lui a été imposé d'interdire à sa fille de 5 ans de parler de Jésus dans l'école où travaillait Jennie. À moment donné, les autorités scolaires ont trouvé un mail privé de la maman, dans lequel elle demande aux membres d'une église de prier, et elle a été accusée de conduite professionnelle inadéquate.

Comme on peut le voir, sous la couverture de la police correcte, Le SYTEME a quelques buts clairs : promouvoir l'homosexualité, la destruction du concept de famille traditionnelle, le patriotisme, la persécution des chrétiens. En résumé, poursuivre la réalisation point par point de la doctrine des "illuminati".

Mihai Vasilescu